Forêt d'Antinéor
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Dans cette grande forêt obscure et inquiétante vivent de nombreux de peuples (humains, nains, elfes, orques, gnomes, hobbits...) Certains ont fondé des villes, d'autres se sont enterrés sous terre, et les derniers sont allés vivre dans les arbres.
 
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 2004-LE MARCHÉ

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MortCroc

MortCroc


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MessageSujet: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:03 pm

De : Maître du jeu (Message d'origine) Envoyé : 2004-02-23 08:41

Sambre a marché presque une semaine depuis qu’il a quitté sa cabane là-bas dans le Val tari. La route n’a pas été des plus agréables les premiers jours puisqu’elle a été faite sous une pluie battante. Cela faisait presque un mois qu’il pleuvait sans cesse sur le Val tari qui n’avait de « tari » plus que le nom à présent tant les nappes d’eau avaient été gonflées. En effet, la source s’était mise de nouveau à couler abondamment, elle qui s’était tarie il y a plusieurs décennies de cela.

Quatre jours après son départ, le soleil du milieu de l’été avait refait son apparition, chauffant et séchant toute la forêt détrempée. C’est donc sous une forte canicule que le rôdeur arrive à Salnium, là où on lui avait dit qu’il pourrait trouver du matériel incroyable pour chasser. Salnium, cité de pierre blanche. Salnium réputée pour ses lorgnons et ses pierres d'ambre. Salnium et sa fameuse bière noire, unique au monde.

Après un bref contrôle aux portes de la ville, le rôdeur fait son entrée dans l’enceinte de Salnium. La cité est en ébullition, c’est jour de marché. Des étals de fruits et légumes jonchent les rues et les places, vendant leur denrées à des prix prohibitifs, compte tenu des récoltes ravagées par les intempéries. Ci et là les cris des marchands haranguant les clients potentiels montent entre les étals colorés et parfumés.

Toutes les conversations semblent tourner autour de deux sujets principaux : le coté imprévisible de la météorologie et les fiançailles prochaines de la princesse Palieta avec le prince du Royaume d’Alénie, avec qui une paix serait en passe d’être négociée après de longues années de guerre.

Sambre se retrouve un peu noyé dans cette foule lorsqu’il sent soudain que quelqu’un le bouscule et le dépasse. Un jeune homme, à peine sorti de l’adolescence prend la fuite, serrant contre lui la bourse de l’homme des bois.

(Hors jeu : Pas de répit pour toi… l’action commence maintenant)


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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-23 13:16
Je m’écrie de ma voix tonitruante « PETARD !!! », suivit de quelques aboiements et grognements très rapide(*). Mon chien, non loin de là, me fait aussitôt écho en s’élancant immédiatement à la poursuite du vaurien. Mes 2 ou 3 aboiements font alors place à une phrase devenue célèbre sur toutes les places de marchés : « Au voleur !!! »

En se lancant à la poursuite de mon voleur, je prend la peine de saisir dans chaque mains deux belles et grosses pomme terre vendue par un maraîcher qui harangue la foule sur la qualité et la fermeté de ses légumes.(**)

Des que l’occasion se présente, je lance une pomme de terre pour le déséquilibrer. Je ne tire pas tant qu’il est dans la foule ou quand il passe devant l’échoppe du potier, vitrier, ou autre truc fragile et chère.(Compétence arme de jet : hachette … je sais ça a pas la même forme qu’une patate, mais les deux volent si une force suffisante est appliquée).

Des la poursuite engagé je me dis que ce vaurien est soit inconscient ou désespéré, soit pas seul. Attention donc au croc-en-jambe, pot de fleur qui tombe, tonneau qui roule … Mais hors de question de ralentir … on verra bien.

Je souhaite avant tout attraper mon gredin pour récupérer ma bourse, puis peut être discuter avec. Si je l’attrape, je le saisis fermement et je regarde tout de suite s’il n’a pas des compéres m’attendant.

-------
HORS JEU

(*) : Utilisation de mon bracelet pour parler avec les animaux : En commun ça donne : « Attrape le. Ne tue pas »

(**) Si pas de pommes de terres, même chose avec des navets. Si pas de navets, topinambours quelconque. Si pas de topinambours, cucurbitacées quelconque. Si pas de cucurbitacée, une hanse retenant le volet d’une échoppe (longueur un metre) … sinon tout autre truc à lancer … voir un Hobbit Siffloteur qui passe par là …)

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-23 14:07
(Hors jeu : sale voleur de pommes de terre ! J'espère que le MJ ne te laissera le choix qu'entre une citrouille ou des fraises.)

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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-24 05:29

(Hors jeu : C’est le début de l’aventure, je serais plus dure par la suite… j’accorde des navets !)

Lorsque Sambre se met à vociférer « Pétard ! », toutes les personnes présentes autour de lui se retournent en sursautant. Les grognements et aboiements poussés par le jeune homme lui attirent des regards à la fois curieux, outrés, et apeurés. Pourtant lorsqu’il s’écrie de façon compréhensible cette fois-ci « Au voleur ! ! », tous semble réagir en serrant contre eux, leur panier, bourse, sac ou porte monnaie.

Le chien de Sambre se précipite à la suite du gredin, tandis que Sambre se saisi de deux gros navets sur l’étal le plus proche. Une autre voix monte et se met à retentir alors « Au voleur ! ! ».

La jeune voleur se retourne et constate avec une crainte non dissimulée qu’il est poursuivit pas un chien et par son maître qui semble encore plus enragé que lui. Dans sa fuite, il prend le temps de reverser des cageots de pommes sur le sol pour ralentir ses poursuivants. Pétard parvient à éviter les fruits assez lestement ce qui n'est pas le cas de Sambre qui doit contourner la zone.

La course les conduit vers un coin du marché un peu moins fréquenté, juste devant un grand bâtiment portant une plaque de marbre à coté de la porte par laquelle un jeune homme brun vient de sortir avec un air pensif. Maintenant que le chemin est dégagé, Sambre lance ses projectiles en direction du ruffian. Le légume touche le voleur en plein sur le sommet du crâne, lui arrachant un cri d’indignation et de douleur « Aiieuuuuu ! ». Le temps qu’il se retourne pour regarder ce qui se passe le second navet le frappe en plein dans le dos, alors que les crocs de Pétard s’enfoncent profondément dans son mollet.

Le jeune homme se débat comme un beau diable, tentant de faire lâcher prise à cet animal qui lui perfore le mollet. Il est pris d’un moment d’indécision : doit-il tenter de reprendre la fuite pour ne pas se faire bouffer par le molosse ou alors ne plus bouger et risque de se faire bouffer encore plus ? C’est plein d’indécision qu’il reste là, planté en criant de douleur

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Envoyé : 2004-02-24 08:14
L'auteur a supprimé ce message.

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-24 08:15
Le volatil s'étant dirigé dans la direction indiqué par le marchand, je suis ses directives bifurquant devant l'académie de magie prés du marché.

Là un étrange spectacle attire mon attention : sous les yeux médusés d'un passant, un fou furieux bombarde de détritus un jeune garçon sur lequel il a laché une bête enragée ! La scène pourrait prêter à confusion, mais les cris "Au voleur" et les mises des deux protagonistes m'éclairent rapidement.

Je plonge dans la mélée, saisissant le chien fermement par l'arrière de son collier. Puis je décoche un coup de pied maladroit au jeune voleur, qui plus qu'il ne le blesse lui donne une bonne impulsion. Décidément ce marché ne porte pas bonheur à notre confrérie.

"Et qu'on ne t'y reprenne pas maladroit !"

Tout en me débattant avec le chien je me tourne vers l'homme qui arrive essouflé.

"Si vous pouviez me débarasser de ce bestiaux et ramasser cette bourse avant que quelqu'un d'autre ne s'en charge" dis-je en montrant de la pointe de ma botte la dîte bourse que le garçon a laissé tombé dans sa lutte pour se protéger.

"Oh et pas la peine de me remerciez ! Ce ne sont que quelques pénibles heures passées au poste de guet à déposer, voir la vindicte de la bande de ce garnement que je viens de vous éviter".

Au fait, je me présente : "Fifrelin, nouvel arrivé dans cette ville comme vous même je crois bien ?" S'ensuit une courbette guillerette.

Puis me frappant le front : "Mince ! Mais j'oublie j'ai une course urgente à faire !"


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Envoyé : 2004-02-24 09:25
L'auteur a supprimé ce message.

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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-24 09:35
"Pétard au pied !!!"

Le petit vaurien, ne demandant pas son reste, se dérobe par une petite ruelle pour aller se fondre dans la foule. Bien trop heureux de s'en tirer à aussi bon compte. Et peut être que ce soir en contant aux autres enfants mendiants de la cité son exploit d'évasion face un nombre important d'adversaire lui ayant tendu un guet-append parviendra t il à négocier un quignon de pain pour expliquer avec quel sang froid il s'est tiré de ce mauvais pas et pour exhiber sa dernière (première?) blessure de guerre.

Je n'oublie pas de ramasser ma bourse.

"Je te remercie quand même de ton aide prompte Fifrelin. Puis-je quand même insisté pour vous offrir une choppine ? Je me nomme Sambre et je suis en effet nouvel arrivant dans cette ville, et j'aurai quelques questions à vous poser sur cette ville. Pouvez vous me consacrer un moment de votre temps avant de voler vers une nouvelle cause à défendre ? Je dois juste rendre ... payer ces 2 navets pas si ferme que ça finalement"

Puis en attendant la réponse de Fifrelin, je me dit qu'on m'y reprendrait plus, et décide de placer sa bourse autour de son coup sous ses vêtements.

Pendant ce temps Pétard commence à renifler Fifrelin, assez intérréssé par cette nouvelle odeur.

(Hors Jeu : Une p'tit question aussi : "Le temps qu’il se retourne pour regarder ce qui se passe le second navet le frappe en plein dans le dos," Effet boomerang appliqué au navet ? )

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-25 06:21
(Hors jeu : Kou, je ne t'exclut pas volontairement. Si jamais tu sors de ta catatonie, c'est volontier que tu pourras te joindre)

Fifrelin danse sur place d'un pied sur l'autre en se mordant les lèvres.

*Voler soit, mais défendre des causes bof*

"C'est que ... je suis trés pressé là voyez-vous". En jaugeant l'individu devant moi et le cabot au museau indiscret : "Mais, si vous voulez m'accompagner je vous expliquerai mon l'affaire et je répondrai chemin faisant à vos questions."

Cabriolant tel le lapin blanc d'Alice je me remets à trotiner vers mon but. Au passage, je jette un regard intrigué au jeune homme brun qui s'était arreté non loin de nous sans mot dire.

Si Sambre me suit, je lui raconte rapidement ma mission : "Il s'agirait de récupérer pour le compte de M PiedDeBoeuf, le client que nous allons rencontrer au coin de la Rue des trépassés et de la rue des maraîchers, un objet qui lui aurait été emprunté. Si vous en êtes nous ferons part à deux".

Si mon observation à la longue vue a portée ses fruits rendez-vous au paragraphe 11. Dans le cas contraire rendez-vous au paragraphe 666.

11 : Je me poste de façon à espionner discrètement la maison dans laquelle s'est posée le pigeon, attendant de voir qui va en sortir. Eventuellement, je me renseigne sur le nom de son occupant en achetant quelques bricoles aux marchands du coin. Si rien ne se passe avant la fin de l'heure, je me rends au rendez-vous.

666 : Je préviens Sambre pour qu'il se place de manière à pouvoir nous observer mais en retrait. Au cours de la conversation avec le commanditaire j'amène dés que possible l'idée que j'ai un associé et si il ne s'y oppose pas je fais signe à Sambre de nous rejoindre.
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:05 pm

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-25 08:32
( Hors Jeu : Pour Kou : Notre aventure avance, aucun problème pour que tu t'y associes)

Après avoir observé derrière lui que la garde de la cité n'a pas lancé à sa poursuite ses plus fins limiers et détectives pour détournement de légumes pour terrorisme, Sambre emboîte le pas de Fifrelin.

N'empêche que si ça continue comme ça : refuser une chopine pour avoir récupérer ma bourse pour voler aussitôt vers une autre âme en peine pour l'aider à récupérer ses possessions. Fifrelin pourra se faire passer pour un Paladin des nobles causes.

Mais bon, à la forêt comme à la forêt et à la ville comme à la ville : si ici la vie est basée sur ces façons de faire, faisons de même. Inutile de nous faire remarquer.

Pétard ,d'un naturelle très joueur, suit également Fifrelin sur ces talons dans sa course lapinesque. Et profite du premier arrêt de Fifrelin pour lui envoyer la plus amicale des léchouilles en travers du visage de Fifrelin.

"Pétard, je t'ai déjà dit de pas sauter sur les gens !!! ". Pétard , sans bouger, les 4 pattes au sol, tourne sa tête vers Sambre pour lui renvoyer un regard cabotin.

( Hors Jeu : Peut-on savoir si le repérage de Fifrelin a fonctionné (un pigeonnier en centre ville, il ne doit pas y en avoir des centaines) )

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Conseiller Message 12 sur 50 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-25 09:20

(Hors jeu : Mais c’est que vous êtes rapides ! Vite, vite, je tente de recoller avant que vous ne me fassiez partir mon intrigue en peau de saucisson… mais avant deux ou trois petites choses à préciser et puis aussi une ou deux mauvaise surprises, non mais, sinon ça sert à quoi un maître de jeu !
1- Bon tout d’abord, pardonne moi Sambre pour l’effet spécial du navet boomerang, je ne sais pas où j’ai lu que tu avais lancé les deux légumes. Dans ce cas, seul le premier projectile fait mouche, parce que les navets dirigés à distance n’existent pas encore dans Armagalor.
2- Ensuite, Kou, si les deux brigands que sont Fifrelin et Sambre ont déjà quitté la place du marché, ne t’en fais, pas, continue un brin dans la discussion « Ultimatum », tu les retrouveras de toutes façons, fais moi confiance pour ça… à moins que tu ne veuilles leur courir après.
3- Et pour finir, Fifrelin, tu n’as pas froid aux yeux dis donc ! Tu ne t’es jamais fait bouffé par un chien ? Honnêtement, j’aurais hésité plus d’un moment avant de m’approcher du molosse se délectant du mollet du garnement… mais cela vient peut être du fait de mon coté, non « aventurier »
Maintenant à nous les sprinters)

Fifrelin a un juste réflexe en plaçant sa longue vue sur ses yeux pour voir le pigeon et la direction qu’il emprunte. Le hobbit a un léger mouvement de recul du à la surprise devant la grande précision et puissance de l’objet acheté à si bas prix. Heureusement pour lui, son équilibre hors du commun lui permet de ne pas terminer en galette sur le pavé à quelques mètres plus bas.

L’intervention du hobbit dans la course effrénée du petit voleur, lui permet de filer sans demander son reste tout en boitillant, la jambe en sang. Le marchand criant « Au voleur ! » après Sambre pour ses deux navets se fait plutôt indulgent et récupère ses deux légumes tout en grommelant et en pestant sur l’impolitesse de certaines personnes qui ne demandent même pas l’autorisation avant d’emprunter des choses.

C’est quand même étrange, Sambre a une drôle de sensation lorsqu’il replace sa bourse autour du cou. Mais déjà le hobbit se lance dans les rues en gambadant follement (tiens cela me rappelle en délire de nains dans les folles herbes hautes... oups je m'égare )

Fifrelin guide donc Sambre et le chien dans les rues en direction du quartier riche. Les miliciens détaillent avec curiosité les deux passant lorsqu’ils entrent dans l’enceinte du quartier Perditis, mais ne s’opposent pas à leur passage.

Dans le coin, les maisons sont grandes, hautes, imposantes et toutes faites de pierres blanches. Les rues sont larges et pavées et des bacs de fleurs ornent les trottoirs. Les habitants du quartier sont tous richement vêtus, des calèches et des carrosses sont stationnés et des laquais patientent tranquillement que leurs employeurs aient fini leur course. La maison vers laquelle s’est dirigée le pigeon est parquée par un haut mur d’enceinte. Un homme vêtu d’un rond de tête plein de froufrous en sort quelques minutes après que Fifrelin ne se soit placé en planque. Il se rend directement dans le quartier du marché et entre sans frapper dans une maison des plus modestes. Quelques minutes plus tard c’est un autre homme, un peu plus jeune et vêtu des plus communément qui quitte les lieux et prend la direction du cimetière.

(Hors jeu : Bon, à vous de me dire à présent ce que vous faites, sachant qu’il n’y avait pas de marchand dans le quartier riche pour vous renseigner sur le propriétaire des lieux et que ce fameux riche ne ressort pas de la maisonnette du quartier Nortis.
A oui, autre chose, Sambre, je suis affreusement désolée, mais ta bourse est pleine de petits cailloux… fallait pas le laisser partir le garnement qui a réussi le coup de sa vie !)

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Conseiller Message 13 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-25 10:42
Fifrelin mémorise attentivement les traits du véritable commanditaire.

Je me tourne alors vers Sambre : "Ton chien à l'air intelligent. Peux-tu le laisser 5 minutes avec moi sagement pendant que tu suis cet homme ? Ensuite grace à lui je te retrouverai."

Si Sambre est d'accord je me dirige vers l'imposante double porte et je frappe à la petite porte intégrée dans celle-ci. Au bout d'une minute un judas s'ouvre et un visage renfrogné apparaît. D'un sifflement j'indique au valet qu'il doit regarder en bas.

Soulevant légèrement mon chapeau en guise de salut : "'Jour m'sieur, un message pou'l maît'e e'd ma'son. J'peux le voir ?" Je me cure ensuite consciencieusement le nez.

D'un air pincé le laquais me répond que son maître n'est pas là et que de toute façon, il ne reçoit pas les individus de mon espèce. Par contre, je peux lui transmettre mon message.

Me grattant la tête d'un air embetté : "Ah ben c't embettant ça ! Nôt bon maître m'avions préviendu qu'la livrason de fourrage à m'sieur Bartabas à l'allait 'voir du retard."

La dessus, le valet me traite de tous les noms, m'enjoignant de déguerpir en précisant que cette maison appartient à ????

(Hors jeu : au MJ de décider si au cours de cette conversation j'arrive à faire dire au serviteur le nom du maître des lieux)

Je m'éloigne en bougonnant, les mains dans les poches, un caillou faisant les frais de ma feinte colère. Aprés avoir vérifé que le judas s'est refermé, je cours vers Pétard qui trépigne sur place, le regard suppliant sans oser bouger comme son maître lui en a donné l'ordre.

En claquant dans mes mains je lui lance : "Aller, cherche Sambre, cherche, aller Pétard !". Et je me mets à courrir dans la direction prise par son maître. Le chien enfn délivré de sa contrainte insupportable jaillit comme une flêche sur les traces de son maître et j'ai grand peine à le suivre. Heureusement, ce train d'enfer ne dure que 3 minutes et nous rejoignons rapidement notre compagnon.

tout en reprenant mon souffle à grand peine j'explique à Sambre de façon hachée le résultat de ma démarche et nous assistons ensemble au départ de l'intermédiaire. Par mesure de précaution, une fois sur de la direction prise, nous interrompons la filature pour nous rendre au rendez-vous par une autre voie.











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Conseiller Message 14 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-25 12:38
( Hors Jeu : J’ai bien lancé 2 navets, mais je parle d’effet boomerang, car bien que suivant mon agresseur je l’ai touché de dos … quand il s’est retourné !!!)

Sambre suit Fifrelin vers le quartier bourgeois. Mais en mettant sa bourse sous ses vêtement, je ne peux m’empêcher de pousser un juron : « SALOPIOT »

Fifrelin « Non, c’est bon Pétard me dérange pas »

« Non pour une fois je ne parle pas de Pétard , mais de notre voleur. Ce garnement m’a rendu une bourse contenant des cailloux blancs. Il a bien eu de la chance de posséder une bourse ressemblant autant à la mienne et rempli d’à peu prés le même volume. Mais il possible que ça chance fasse son malheur. Mais pour le moment réglons l’affaire de Mr PiedDeBoeuf, nous nous occuperons de ce voleur après. Enfin surtout Pétard, avec son odeur de crasse et celle de son sang, Pétard pourra probablement retrouver cet éclopé et cette fois si plus de demi mesure.»

Fifrelin « En plus d’être cabot Pétard a oublié d’être bête et propre on dirait. N’aimant pas laissé un travail inachevé je t’accompagnerai. Mais attention ça bouge par la. Peux-tu me laisser Pétard 5 minutes avec moi sagement pendant que tu suis cet homme ? Ensuite grâce à lui je te retrouverai."

Sambre fait comprendre rapidement à Pétard ce qu’on attend de lui rapidement en lui frottant le museau (Hors Jeu : si nécessaire je réutilise mon bracelet parler avec les animaux)

« Fifrelin tu lui demanderas de me retrouver en citant mon nom et suis le … et si nécessaire joue au petit poucet »

Je commence à suivre mon homme vers le cimetière en laissant derrière moi les cailloux blancs que m’a si gentiment offert mon voleur. De plus je prends soins de temps en temps (pas tout les 5 mètres pour ne pas me faire remarquer) de frotter mes bottes ou ma main sur des coins de murs à hauteur de la truffe de Pétard

( Hors Jeu : oui on fait feu de tout bois )
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:05 pm

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Conseiller Message 15 sur 50 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-26 08:29

(Hors jeu : Heu… ça ne va pas être facile de me rattraper là pour le coup du navet… vite, vite réfléchissons… Hum… Je ne te l’ai pas dit ? Le voleur avait une malformation congénitale et possédait… deux dos ! Non, ça ne le fait pas ? Bon d’accord, j’m’ai gourré…

Et puis, j’aurais besoin que vous éclairiez ma lanterne, siou plait… Ai-je bien compris si je dis que Sambre a fait parler Fifrelin ? Je ne doute pas qu’il soit d’accord, mais je vous mets en garde sur le fait que les autres joueurs n’apprécieront surement pas si cela est fait avec leur personnage… Tout comme les pnjs sont miens… et sur ce coup là, je vais jouer les égoïstes, d'accord ?

D’autre part, j’ai un petit doute… Fifrelin, je comprends que tu retournes avec Pétard dans le quartier riche pour sonner la cloche de la grille de la demeure où le pigeon s’est posé, si ce n’est pas cela, je corrigerai et vous prie de m’excuser pour mes difficultés de réflexion qui sont diminuées ces derniers temps... merci aussi de ne pas en profiter pour me faire avaler que vous êtes niveau 20 cette vieille blague ne fonctionne plus )



Fifrelin retourne avec Pétard dans le quartier Perditis, pendant que Sambre prend en filature l’homme qui se rend dans le quartier.
Le hobbit est regardé tout d’abord avec étonnement par le laquais qui ouvre le porte, mais l’homme se rend compte bien vite qu’il doit s’agir d’une erreur et prie le hobbit de continuer son chemin et que cette demeure n’appartient pas à Monsieur Bartabas. Il ne cite néanmoins pas le nom de son employeur et envoie le hobbit sur les roses s’il se fait insistant.

De son coté Sambre suit le deuxième homme qui traverse le marché et entre dans la maison faisant le coin de la rue des trépassés et des maraîchers en tournant une clé dans la serrure.

L’homme ouvre la porte rapidement dès qu’il entend les coups frappés à la porte. Il détaille rapidement les personnes présentes devant lui et s’écarte pour les laisser entrer. L’intérieur de la maison est décoré de façon plutôt humble, les meubles étant faits de bois sans fioritures. Monsieur Piedeboeuf les reçoit dans un bureau et s’assied, les laissant debout. Il les toise une fois de plus avec une légère suspicion et déclare :
- Bien, j’aimerai tout d’abord savoir qui vous envoie… et combien vous êtes vraiment. On ne m’a parlé que d’une seule personne.

(Hors jeu : Je suis partie du principe que vous alliez frapper à la porte et entrer tous les deux. Si ce n’est pas le cas… et bien, je rectifierai)

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Conseiller Message 16 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-26 17:09
(Hors Jeu : Un peu trop de hors jeu en ce moment : il nous faut un peu de temps pour que nous finissions d’assimiler les spécificités du jdr par pbem. Comme nous jouons en duo, nous sommes un peu obligés de faire avancer (ou parler) l’autre pour qu’il suive. Pour te simplifier la tâche, je te précise que Fifrelin pourra faire parler Sambre et que j’en assumerai les conséquences. Et sinon je te rassures nous ne sommes pas niveau 20, nous avons pas encore atteint le niv 16 mais nous en sommes plus trés loin )

(Hors Jeu : Petit Flash Back pour vérifier que nous sommes d’accord. Ensuite promis j’abandonne le Flash Back enfin j'essaye)

Sambre observait la maison depuis quelques instants depuis un porche.

Sambre faisait le point sur tous les événements qui lui sont arrivés de puis son arrivé en ville : Spolier de sa bourse par un garnement qui n’attend rien pour attendre. Sa rencontre par hasard avec Fifrelin. Ce jeu de course poursuite dans cette ville : l’échoppe de ce marchand d’outil de précision (Fifrelin tout seul), la maison probable du commanditaire, et puis enfin cet homme dans cette maison.

C’est à ce moment que Pétard réapparu pour venir se placer juste à côté de Sambre, sans un bruit. Suivi de prés d’un Fifrelin rougit et essoufflé par sa course.

Sambre, pendant que Fifrelin reprenait son souffle, dit : « Notre homme est rentré dans cette maison au coin de cette rue. Il en possédait la clé. Il doit donc y être seul. Personne d’autre n’est entré ou sorti. »

Fifrelin ayant repris son souffle précisa après avoir lu le nom des rues « Angle de la Rue des trépassés et de la rue des maraîchers, c’est ici que nous devons rencontrer notre client »

Sambre « Bon ben allons-y alors. » Sambre donna quelques caresses à Pétard et lui demanda de rester dans la rue à porter de voie, puis se dirigea vers la maison avec Fifrelin. En me rapprochant de la maison, je regarde les fenêtres pour essayer de deviner l’ordonnancement des pièces (Hors Jeu y a t il un mouvement de rideau quand nous nous approchons ? y a t il des étages ? y a t il plusieurs portes ? ).

Arrivé devant la porte Sambre frappe du point pour s’annoncer et aussi connaître la résistance de la porte.

L’homme ouvre la porte rapidement dès qu’il entend les coups frappés à la porte. Il détaille rapidement les personnes présentes devant lui et s’écarte pour les laisser entrer. L’intérieur de la maison est décoré de façon plutôt humble, les meubles étant faits de bois sans fioritures. Monsieur Piedeboeuf les reçoit dans un bureau et s’assied, les laissant debout. Il les toise une fois de plus avec une légère suspicion et déclare :
« - Bien, j’aimerai tout d’abord savoir qui vous envoie… et combien vous êtes vraiment. On ne m’a parlé que d’une seule personne. »

(Hors Jeu : Y a t il des traces que la maison est habité (cendre dans la cheminée, nourriture disposé, poussière ou non, objet de la vie courante) ou est ce uniquement un bureau ?)

Sambre prend un court instant pour inspecter ostensiblement son interlocuteur et la piéce avant de répondre. « C’est Jean-Marie de la quincaillerie à tout petit prix qui nous envoie. On a du vous dire qu’un demi homme viendrai vous voir. Mais comme vous le voyez nous sommes un homme et demi. Il est vrai que Jean-Marie n’a rencontré que mon compagnon. Mais Jean-Marie ne lui a pas laissé le temps de préciser qu’il n’était pas seul. Mais rassurez-vous monsieur Pied de Bœuf, nous savons tout deux nous faire discret et aussi rester discret au sujet de nos employeurs. Je pense que c'est ce que vous souhaitiez. Qu’en pensez vous ?».

(Hors Jeu : Jusqu'à preuve du contraire personne ne connaît nos noms.)

(Hors Jeu : Je veux m’occuper de mon petit vaurien, dés la fin de cet entretient. Pour cela j’espère que le boulot de monsieur Pied de Bœuf ne commence pas immédiatement. Si tel est le cas, je demanderai s’il est possible de décaler son job de 3 heures.

(Hors Jeu : Dernière chose, quel heure est il ? )

De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-26 19:44
Fifrelin emboîte le pas de Sambre et le laisse rentrer premier dans la maison de PiedDeBoeuf. Comme Sambre semble déterminé, je me contente de le suivre, inspectant sournoisement du regard la pièce à la recherche d'un oeilleton ou de trous permettant d'espionner la conversation.

L'homme s'étant assit, je cherche du regard un siège ou un petit meuble pouvant faire office de. A défaut, je m'assied par terre sans façon, juste assez prés du bureau pour que de la ou il est vautré, notre hôte ne puisse voir que mon chapeau.

Si il proteste, je lui fait remarquer qu'il n'a pas mit de siège à notre disposition et que nous ne sommes pas ici pour humilier sans raison l'autre mais pour conclure une affaire à notre mutuel avantage.

Je laisse Sambre commencer la conversation. A un moment donné je me lèverai silencieusement mais sans brusquerie pour aller vérifier dehors que personne ne nous espionne et que Pétard est toujours sage. Je rassure Sambre d'une simple moue si tout va bien.


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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-27 05:59

(Hors jeu : Un dernier aparté avant de continuer. J’attire votre attention pour le futur sur le fait que si vos personnages semblent en osmose pour se communiquer entre eux les informations qu’ils détiennent sans que vous l’écriviez en toutes lettres – ce que je conçois puisque vous semblez bien vous connaître – il faudra cependant par la suite prendre garde à ne pas tenir comme acquises des informations que votre personnage ne pourrait pas connaître, puisque non divulguées en sa présence. Hum… je ne sais pas si je suis très claire là… )

La maison fait l’angle de deux rues et est mitoyenne avec une autre sur sa gauche. Il ne semble y avoir qu’une seule issue et le pas de porte donne sur la rue des trépassés, bien plus calme que celle des maraîchers. Aménagée tout en hauteur, la modeste demeure semble être aussi large qu’une pièce et qu’un couloir, les fenêtres étant alignées verticalement en une seule et unique colonne sur trois niveaux, plus les combles.

La porte est faite de bois plutôt résistant et la serrure de l’issue est assez simple. Le soleil du milieu de l’après midi est brûlant et l’intérieur de la maison ressemble à une grotte tant sa fraîcheur contraste avec la température du dehors intensifiée par la réverbération des rayons de l’astre du jour sur les pierres bien chaudes.

L’entrée, constituée d’un couloir donne sur un escalier étroit et raide menant aux étages. Une seule et unique porte les a conduit dans le bureau où le ménage est fait impeccablement. La pièce semble être un lieu de travail et de nombreux dossiers en pagaille s’empilent sur des étagères. L’âtre de la cheminée est impeccablement nettoyé et il n’y a pas de traces de combustion récente, ce qui n’est pas aberrant compte tenu de la saison. Les traces de suie sur la plaque de bronze démontrent en revanche qu’elle a déjà été utilisée maintes fois.

Fifrelin ne distingue aucun trou suspect ou œilleton pouvant permettre d’observation discrète. L’homme regarde Fifrelin s’asseoir sur son tapis en relevant un sourcil inquisiteur, mais se garde de dire mot. Il se rapproche de son bureau pour se pencher dessus et pouvoir voir le visage de son petit interlocuteur tout en écoutant la réponse de Sambre.

Monsieur Piedeboeuf prend un moment pour réfléchir et répond à Sambre :
- Je n’aime pas les imprévus à vrai dire et à moins que vous ne me prouviez vos capacités de discrétion et de maîtrise de la serrurie…
Il observe un moment de silence ouvre une porte de son bureau et un sort un coffret muni d’une petite serrure qu’il pose devant lui, puis détaillant à nouveau Sambre :
- Etes-vous contorsionniste ? Parce que je comprends que Jean Marie ait proposé cet emploi à votre compère… mais vous… vous me paraissez un peu.. costaud à vrai dire. Enfin… tout dépend comment vous vous débrouillez, vous aurez peut être besoin de gros bras…

L’homme pousse le coffret au bout du bureau de d’un signe de la tête invite ses futurs employés à lui montrer de quoi ils sont capables avant de poursuivre.

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-27 08:00
(Hors jeu : nous commuiquons effectivement hors jeu mais je ne pense pas que nous ayons commis d'impair ?)

Le regard de Fifrelin s'éclaire à la vue du coffret.

Je me redresse en m'essuyant les mains sur le pantalon. Je fais quelques exercices pour assouplir mes doigts en regardant en souraint M PiedDeBoeuf. Puis je sorts ma trousse d'instrument en dissimulant discrètement le rossignol de qualité dans ma manche.

J'observe alors le coffret pour estimer s'il comporte quelque mécanisme ou contenu dangeureux, voir une ouverture dissimulée ailleurs. Je vérifie ensuite qu'il est bien fermé à clef. Si cela a un quelconque intérêt je l'estime tout en faisant part de mes observations à voix haute pour faire patienter le client.

Enfin je m'en empare, l'attaquant avec quelque maladresse au point de ployer un de mes rossignols qui se détend brusquement pour tomber du côté du bureau de M PiedDeBoeuf.

J'attend qu'il se baisse pour le ramasser et là je tente vraiment d'ouvrir le coffret pour en prendre vivement le contenu avant de le refermer silencieusement (pas à clef).

Que cela ait réussit ou non, j'endure stoiquement ses repproches, signalant d'un haussement d'épaule que la tâche est trop dure pour moi. Aprés avoir récupéré mon rossignol je m'en vais sous son regard méprisant : "Viens Tom, cette affaire n'est visiblement pas pour nous".

Sur le pas de la porte, si ma tentative a réussit, je me tourne vers M PiedDeboeuf en tendant dans ma main ouverte ce que j'ai pris dans le coffret : "Oh, j'oubliais, ceci est peut être à vous ?"

(Hors jeu : si le coffret était vide je demande calment à M PiedDeBoeuf de le retourner pour que son couvercle pende)





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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-27 12:00
Je laisse opérer Fifrelin, et je reste attentif à l'ensemble de la scéne : Mr Piedeboeuf, des bruits suspects, la fenêtre ...

Quand Fifrelin me propose de prendre congé je lui répond. "C'est une bien mauvaise journée Rofo !!!" Et je suis Fifrelin vers la sortie ou je m'arrête quand Fifrelin se retourne vers monsier PiedeBoeuf.

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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-02-29 13:28
(Hors jeu : Non, non pas d’impairs, juste un peu de gymnastique pour mon pauvre cerveau pas en état ces derniers temps… mais je pense capter le principal…)

Fifrelin ou comment mener son futur employeur en bateau… Monsieur Piedeboeuf semble passablement agacé et soupire en se baissant pour ramasser l’outil de serrurier hors d’usage. Fifrelin a eu le temps de déceler et de neutraliser un petit mécanisme qui aurait à coup sur propulsé une petite aiguille sur le creux de sa main.
En tordant son premier rossignol le hobbit a constaté que la serrure était loin d’être des plus simples et cela lui a permis de pouvoir l’ouvrir avec son outil de luxe (veinard sur ce coup-ci ! sans le petit bonus, cela restait fermé).

Faisant mine de renoncer, l’homme regarde froidement les deux énergumène se diriger vers la sortie dans les retenir. A quoi bon embaucher des incapables ?

Lorsque Fifrelin se retourne et lui tend le petit morceau de papier griffonné que le coffret contenait, Piedeboeuf ouvre d’une main la cassette et lance un regard noir au hobbit. Il n’a visiblement pas l’habitude de se faire duper et marmonne dans sa barbe en s’approchant et en lui prenant des mains :
- Mmmrrrff… oui.
L’homme toise une dernière fois le hobbit et le jeune homme qui l’accompagne, réfléchissant visiblement et hésitant un long moment. Soudain, il se dirige vers la porte et l’ouvre à Fifrelin et à Sambre en déclarant sur un ton de défi :
- Bien, si vous n’êtes pas à la hauteur pour cette affaire, je vais vous souhaiter une bonne journée. Revenez lorsque vous serez décidé, Monsieur Tom et Monsieur Rofo.
Il les invite à sortir poliment, mais son regard semble leur lancer un défi.
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:06 pm

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-02-29 17:57
Je regarde monsieur Piedeboeuf d’une façon neutre. Puis, je regarde Fifrelin en fronçant un peu les sourcils et surtout avec un grand sourire.

Fifrelin me répond d’un petit haussement d’épaule avec ça moue mi-moqueuse mi-innocente des grands jours.

Sambre dit alors « Soit, bien laissé nous quelques instants que nous vous donnions notre réponse »

Sambre tend sa main au dessus de la tête de Fifrelin et lance une vocalise digne d’un bonze « yommmmmmmmmmmmmmmmm ». Puis très rapidement, Sambre est pris de légers tremblements. Et finalement au bout de 2 ou 3 secondes, Sambre bondit légèrement, comme piqué aux fesses. Sambre en se massant un peu la fesse droite dit en regardant Fifrelin « On fait ça alors… »

Puis après s’être retourner vers monsieur Piedeboeuf pour s’adresser à lui « Nous sommes d’accord pour accepter votre affaire. Donnez-nous en les détails. Nous pourrons ensuite discuter de nos émoluments. »

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-02-29 18:44
Aprés cet interméde, l'attitude de Fifrelin se modifie. Son visage se fige, toute trace d'éclat rieur a disparu de ses prunelles. On le sent attentif, focalisé sur M PiedDeBoeuf afin de décrypter son langage corporel au fur et à mesure de ses explications.

"Bon, il s'agit de savoir ce que nous devons récupérer, où nous devons le récupérer, chez qui, avant quand ainsi que la nature et le nombre des obstacles avant et aprés l'opération dont vous voudriez nous parler".

Obligeamment je reformule les questions encore sans réponses lors de la conversation. Je suis attentif particulièrement à saisir les nuances qui pourraient trahir des cachotteries de la part de notre client. Mais je me garde bien de le presser.

Si la récompense est en rapport avec les risques, nous ne la discutons pas mais réclamons 1/3 d'avance pour financer du matèriel ou des pôts de vin éventuels et pour engager le client.

Quand tout est réglé nous prenons congés aprés avoir convenu de deux positions particulières des pôts de fleur sur la fenêtre pour annoncer respectivement une demande de rendez-vous le jour même sur le coup de midi ou pour signaler de se tenir à distance suite à un danger.

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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-01 11:44

Piedeboeuf regarde les deux énergumènes faire leur drôle de mimiques en fronçant les sourcils. Des allumés, voilà ce qu’ils étaient tous les deux. Ils barraient de la caisse et voulaient lui faire gober qu’ils étaient capables de communiquer par simples pensées ? Où donc Jean Marie avait la tête lorsqu’il leur avait proposé cet emploi ? Il n’allait surement pas prendre le risque de confier cette mission si importante à deux fous, aussi doués soient-ils en serrurerie !

Le regard de Piedeboeuf change du tout au tout et perd son coté de défi pour se refermer totalement et se peindre d’une grande fermeté. Son visage est des plus sérieux lorsqu’il déclare de façon fort polie, mais ferme :
- Je crains que cet emploi ne soit pas pour deux personnes… de votre condition. Si vous voulez bien m’excuser…

D’un autre geste, il les invite à quitter son domicile, maintenant la porte ouverte sur la rue.

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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-01 12:36
C'est avec une même fermeté que Fifrelin lui répond :

- "Je crains que votre fin de non recevoir ne me donne pas plus satisfaction. Alors nous n'allons pas vous laisser décevoir notre futur employeur qui vous attends dans votre charmante maisonnette du quartier Nortis. A moins qu'il ne soit rentré dans sa magnifique villa du quartier Perditis".

- Avec une pointe de menace dans le ton : "Voyez-vous, pour les choses importantes nous sommes d'une rare efficacité, Jean-Marie ne s'y est pas trompé. Même si le reste du temps, nous nous comportons en bouffons, ce qui peut amener à prononcer un jugement hatif à notre encontre. Vous vous êtes trompés une fois sur moi, admettez que vous avez pu vous tromper une deuxième fois sur notre compte."

- "Une dernière chose, je ne trahis jamais mes contrats ni mes employeurs de quelque façon que ce soit ... si contrat il y a".

Je referme ensuite la porte et je croise les bras en attendant avec un calme trompeur sa réponse.

Si jamais M PiedDeBoeuf refuse de nouveau ou se la joue à la "je n'ai pas peur", je lui bondit dessus par surprise en posant ma dague sous sa gorge tandis que je demande à Sambre de m'aider à le maitriser. J'intime alors à M PiedDeboeuf de se taire. Si il résiste et que nous ne pouvons pas le faire taire je fais de mon mieux pour le tuer rapidement.

(Hors jeu : la fin du post n'est pas destiné à influencer le maître de jeu. Je suis sur que M PiedDeBoeuf saura réfléchir et agir sans en tenir compte)





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Envoyé : 2004-03-02 04:43
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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-02 05:29
Juste après la prise de parole de Fifrelin, et profitant du court moment de silence de plomb qui doit en suivre, j’observe et surtout j’écoute une nouvelle fois, si nous sommes bien seuls dans la maison.

Je rajoute alors sur un ton neutre en regardant l’escalier vide menant à l‘étage : « Quel silence. » Puis en regardant de nouveau monsieur Piedeboeuf, sans agressivité « Je vous avoue un secret monsieur Piedeboeuf, en effet je ne suis pas télépathe … Mais notez que le résultat est quasiment le même finalement. Vous nous avez déjà donné beaucoup de renseignements mais pas tous ,rassurez-vous. ».

(Hors Jeu : Si on en vient aux mains, je rappelle que je connais le combat à mains nues (compétence pugilat ) et donc je pense être capable de maîtriser ma force et d’immobiliser Piedebouef rapidement avec une clé … bien entendue si c’est un combattant émérite cela est moins vrai. Autre point, si je commence à entendre le début d’une formule magique, je tente de l’assommer, pareil s’il essaye de crier.)

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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-03 11:43

Le changement de comportement des deux énergumènes est plus qu’inattendu et les informations qu’ils ont récupérées, sans qu’il en soit informé, sont impressionnantes et peuvent être gênantes et même dangereuses.

Piedeboeuf reste stoïque et silencieux pendant quelques instants détaillant à nouveau le hobbit et son compagnon défiguré. Une légère moue apparaît sur ses lèvres alors qu’il réfléchit. Pour ce qui est de savoir quel sentiment ou réflexion cela traduit, ce n’est pas des plus évident.

Après un long moment de silence, il déclare :
- Suivez moi.
Piedeboeuf fait demi tour et retourne dans son bureau. Il se retourne et regarde à nouveau les deux compères un instant avant de déclarer :
- Votre petit numéro m’a convaincu. Nous allons faire affaire, mais ne jouez plus ce petit tour en ma présence.

La dernière phrase est prononcée sur un ton sans appel. Piedeboeuf se retourne et choisi dans les étagères derrière lui un parchemin qu’il déroule sur le bureau. Fort heureusement pour Fifrelin, il ne s’agit pas d’un texte, mais d’une illustration représentant un masque. Masque à l’allure plutôt lugubre, constitué de plusieurs éléments, huit en tout : un pour la mâchoire, deux pour les joues, un pour le nez deux pour les yeux, un pour le front et un pour l’ornement du front.

Les différents croquis montrent le masque entier ainsi que les éléments désolidarisés avec tout un mode d’emploi pour les assembler. Piedeboeuf montre la gravure représentant le masque entier et déclare :
- Voici l’objet que vous aurez à me rapporter. Objet de valeur sentimentale, il est extrêmement fragile et c’est entier que je le veux.

Piedeboeuf lève la tête pour observer les mimiques ou réactions des deux hommes et poursuit :
- Ce travail vous sera payé deux cent pièces d’or, prix non négociable. Cet objet se trouverait à la confrérie des négociants, et devrait être mis en vente après demain.

Cette fois-ci Piedeboeuf marque une pause et attendant les éventuelles questions qu’ils voudraient bien lui poser.

(Hors jeu : Ci jointe une petite illustration du masque)



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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-03 17:35
Sambre est attentif aux paroles de monsieur Piedeboeuf. Fronce un peu les sourcils à l’énoncé du projet.

« - Bien je pense que nous allons pouvoir commencer à travailler. Et pour commencer, comme vous vous en doutez, nous avons quelques questions à vous poser. »

« D’abord pouvez vous nous donner les dimensions approximatives et le poids de votre masque. Puis précisez un détail qui permettra de le reconnaître de façon unique parmis d’autres.

Ensuite parlez-nous de la confrérie des négociants: ou est ce en ville ? Comment vend t elle ses biens ? (Est ce un lieu de dépôt vente, commissaire priseur, comptoir/magasin d’une guilde de marchand ) Quels sont les horaires d’ouverture ? Est-ce que la confrérie des négociants à d’autre fonction que celui de la vente de bien ?

Connaissez vous le nombre approximatif de personne y travaillant en journée et la nuit ? Avez vous des infos sur la garde qui est en place dans la confrérie des négociants la nuit ? Pouvez vous nous dessiner le plan, ou une partie, de la confrérie des négociants. ? Y a t il d’autre bâtiment remarquable à proximité de la confrérie des négociants ?

Comment organise t elle ses ventes : enchères, dépôt vente, comptoir d’une guilde, heure d’ouverture ? Qui la dirige ? Donnez nous la liste ou le nombre des personnes (que vous connaissez) qui y travaillent ? Pouvez vous nous dessiner le plan de la confrérie des négociants.

Une fois le masque en notre possession, nous reprendrons contacte avec vous, ici, pour échanger le masque contre le reste de notre salaire.

Et pour finir nous vous demanderons le paiement d’avance de 65 des 200 pièces, ceci est aussi non négociable »

Mais à la vue du froncement de nez de Rofo, je pense qu’il aura aussi quelques questions et autres demandes. Ecoutons-le»


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De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-03 19:44
Fifrelin fronce un peu le nez signe d'une intense réflexion chez-lui, à moins qu'un moucheron importun n'en soit la cause.

Je laisse calmement passer l'avalanche de questions, plaignant à part moi le sieur PiedDeBoeuf. J'écoute d'une oreille distraite ses réponses, intéréssé en tout et pour tout par le plan et les précisions sur la garde.

*Tsss ces jeunes, qui veulent toujours faire de l'épate ! Et pourquoi pas l'age du capitaine ? Pour la plupart des réponses, nous irons nous faire une idée par nous même*

Je tique un peu quand Sambre parle de la nuit, me disant à part moi qu'il vaut mieux ne pas trop en dire sur nos intentions.

Puis quand le flot s'est tarit je me lance :

"En quelle matière est le masque ?"

"Dégage t'il une aura identifiable par certaines personnes ?"

"D'autres personnes risquent-elles d'être intéressées par le masque ?"

Pour le prix, ca me va sauf si je m'apperçois que vous nous proposez moins du 1/4 de la mise à prix. Auquel cas je vous conseille de réajuster promptement votre offre.

L'avance servira pour nos préparatifs et concrétisera notre arrangement.
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:06 pm

De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-04 11:48

Piedeboeuf ne semble nullement surpris par la marée de questions sous laquelle il se trouve enseveli. Il se contente de hocher de la tête et de répondre calmement aux questions qu’on lui pose en tentant de ne pas en oublier une, ce qui est loin d’être gagné vu sa capacité de mémoire.
– Cet objet est suffisamment grand pour couvrir le visage d’un humain de taille moyenne plus deux pouces de cotés et sur la hauteur. Son poids est équivalent à deux livres et en ce qui concerne le risque de le confondre, il n’y en a pas, cet objet est unique.

Chacun des mots de Piedeboeuf semble pesé soigneusement :
- La confrérie des négociants est l’organisme qui collecte les taxes de chacun des commerces installés dans Salnium. Elle se situe dans le quartier Mercator sur la place aux fontaines. Il arrive que des ventes soient organisées là-bas, elles sont alors publiées dans les rues et annoncées à l’avance. Les ventes commencent avec une mise à prix et le plus offrant obtient l’objet mis en enchères. La confrérie n’ouvre ses portes que la veille de chaque vente pour permettre aux futur acquéreurs de venir repérer les objets et de prévoir les liquidités nécessaires, ainsi que les jours de vente. Le reste du temps, le public n’est pas reçu.

Piedeboeuf marque une pause et avale sa salive avant de poursuivre :
- Je ne sais pas combien de personnes sont employées là-bas, mais les biens sont toujours gardés. Je ne connais de la confrérie que la salle d’exposition située sur la première porte à droite en entrant et disposant qu’une autre issue, et la salle des ventes située en face dans le couloir et disposant elle de deux issues.
Piedeboeuf se saisi d’un parchemin et trace grossièrement la rue, un long couloir perpendiculaire avec de chaque cotés quatre porte et une tout au bout. Puis sur les deux premières portes, deux grandes salle de tailles identiques avec les issues correspondantes. Il laisse là son croquis grossier en suspend réfléchissant un instant puis sur le coté qui donne sur une petite rue extérieure, trace une ouverture en précisant :
- La porte arrière sert à l’entrée du personnel. Elle donne dans une ruelle peu fréquentée, si cela peut vous aider. Le quartier est plutôt calme la nuit, puisqu’il s’agit d’une zone marchande. Seuls les propriétaires d’échoppes y résident.

Piedeboeuf tourne alors son plan en grimaçant peu satisfait de lui même et le place face aux deux compères. Il poursuit alors ses réponses :
- A ma connaissance, la confrérie est gérée par Sire Thomas, une personne intègre, mais c’est la couronne qui en est propriétaire. Plusieurs commissaires priseurs y travaillent et le plus connu, celui qui va diriger la vente dans deux jours est Maître Bourpain.
C’est maintenant au tour du hobbit de poser ses questions et au soulagement de Piedeboeuf la quantité en est moindre. L’homme lui rétorque alors :
- La masque est constitué d’un assemblage de pièces taillées dans une roche rare nommée « Néphrite » et à ma connaissance, il s’agit d’un objet neutre non enchanté. D’autres personnes vont vouloir se porter acquéreur de cet objet dans deux jours et mon employeur ne tient pas à avoir à se livrer à cette vente pour récupérer son bien. Le nom de la personne qui l’a mise en dépôt devrait se trouver dans les dossier. Si vous me le rapportez avec les preuves, une prime de trois cent pièces vous sera accordée. Je vais chercher votre avance, si vous voulez bien patienter…

Comme si cela était naturel, Piedeboeuf laisse Fifrelin et Sambre tous les deux pour se rendre à l’étage et redescendre quelques instants plus tard avec une bourse rebondie qu’il tend à ses deux employés en déclarant :
- J’apprécierai volontiers que vous me communiquiez des noms plus… personnels, si vous voyez ce que je veux dire… je ne suis pas de la dernière pluie et je souhaite pouvoir faire confiance aux personnes avec lesquelles j’engage un travail.



(Hors jeu : Ouf ! Je pense avoir répondu à tout... mais si j'entends une objection ou une protestation dans la salle, va y avoir une nuée de météores qui va tomber une fois de plus sur la ville )

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Conseiller Message 33 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-04 12:58
(Hors jeu : cool Sambre, on a notre diversion ! On se déguise en pompier, on proteste et on profite de la nuée de météore pour faire le casse . et si il nous poursuivent : on objecte !)

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Conseiller Message 34 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-05 08:42
Fifrelin observe avec attention le dessin du masque, tout en lissant le parchemin machinalement.

"Quel est la mise à prix initiale du masque ?"

"Croyez-vous qu'il soit possible à peu de frais et trés rapidement de réaliser une copie convaincante du masque ... comme piétiné par un âne ?".

Si PiedDeboeuf répond par l'affirmative, je lui demande si il veut bien s'en charger directement ou indirectement, sachant qu'il nous faut les tessons pour demain aprés-midi. Si il est d'accord je me présente en tant que Fifrelin. Dans le cas contraire, la confiance comme la coopération sont une affaire de bonne volonté.

Je m'entretiens ensuite brièvement et dicrètement avec Sambre du plan que nous allons suivre : "... reconnaissance ... vases ethniques ... livrer une caisse ... " Dans le cas ou un faux masque détruit est possible : " ... coupable ... enlèvement ... droguer ... livre brulé ...".

Je salue ensuite M PiedDeBoeuf et je signale à Sambre que nous avons le reste de l'aprés-midi pour retrouver un certain gredin. Avant de partir je vide la bourse, compte les pièces, avant d'en remettre la moitié puis de la tendre à Sambre : "Tiens ! Et cette fois ci fais y un peu attention".

Si par le biais de M PiedDeBoeuf ou par nos propres moyens à partir de ses indications nous pouvons réaliser une copie détruite du masque, nous nous donnons rendez-vous en fin d'aprés-midi devant l'académie de magier. Je pars ensuite de mon côté louer une petite maison / chambre pour 1 semaine dans un quartier minable le plus proche possible de la salle de vente : ch studio/pavillon, 1+ entrées peu fréquentés, si possible avec cave individuelle. Chemin faisant je regarde si je peux acheter 5 doses d'un équivalent local du hashich.

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Le nombre de participants qui recommandent ce message. 0 recommandations Message 35 sur 50 dans la discussion
Envoyé : 2004-03-05 08:42
L'auteur a supprimé ce message.

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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-05 11:09

Si monsieur PiedDeBoeuf répond par l’affirmatif à la demande de Fifrelin et une fois que Fifrelin c’est présenté, je reprends à mon tour. « On me nomme Sambre. J’espère que nous connaîtrons aussi votre nom une fois que vous saurez en possession de votre masque ». Puis je reprends aussitôt « Monsieur Piedeboeuf, pourriez vous également nous trouver deux douzaines de poteries, non cassées celles-ci, plus ou moins en forme de récipiant ou de vase et approxativement de la taille de deux poings. Plus la forme sera de mauvais goût plus sera bon pour nous. »


Si monsieur Piedebouef accepte de nous aider et commence à nous interroger sur ce que nous lui demandons je lui réponds : « Si cela vous intéresse, nous vous l'expliquerons en échange de votre nom dans 2 jours. »


Après avoir retrouver une bourse, tendu par Fifrelin, et cette fois si l’avoir mis plus sagement autour de mon coup sous mes vêtements, je salue monsieur Piedeboeuf, et je prends également congé en précédent Fifrelin. Une fois dans la rue, je fais un signe à Pétard de ne pas bouger et je commende à m’éloigner en disant à l’attention de Fifrelin : « Par contre, Fifrelin (HJ ou Rofo si nous n’avons pas donner nos noms), je préfère te fixer rendez vous devant la maison de monsieur PiedDeboeuf. Pétard pourra t’y retrouver seul plus facilement si nécessaire »


Puis je reprends : « Nous disions donc :
- une tenaille
- un stylet très aiguisé
- 2 ou 3 grands sac en toile de jute
- 2 outres de vin
- un pinceau
- des entraves
- des sucres d’orge
- deux paires de chausses neuves
- une caisse carré d’une longueur de bras de coté (à moi le bras) ou un tonneau
- de l’herbe à rêve
- de l’encre
- 2 miches de pain
- un rouleau à parchemin vide (pour y ranger une grande quantité de parchemin)
- un zeste de malice et le tout saupoudré d’un soupçon de chance.
- une baramine et une chaîne si on trouve
- des vêtements
- de la paille
- une brouette
- une flasque d’huile
- un carquois de flèche
- des poteries de petite taille d’art abstrait (ou n’importe quoi d’autre de moche)
- les tessons d’un masque »


(Hors Jeu si monsieur Piedebouef refuse de s’occuper des 2 derniers points, je demande à Fifrelin de s’en occuper … pas que du masque comme il l’a écrit.)


Je fais un signe à Pétard de venir me rejoindre en espérant que monsieur Piedebouef n’a pas remarqué mon compagnon canin … Pétard de sort !!!


Sambre commence à se sentir plus alerte à cause de l’adrénaline qui commence à monter en lui. Mais ce sentiment est bientôt remplacé par une douce et froide haine. Un petit sourire de coin apparaît sur le visage déformé de Sambre, à moins que sa cicatrice ne lui autorise que ce genre de rictus.


« Bon ben je crois que nous avons tout. Je vais chercher notre premier ingrédient … mon petit voleur … à tout à l’heure »


Je m’approche alors du dernier endroit ou j’ai vu mon voleur. Cet endroit est peu loin (nous sommes déjà prés du marché). Je fait cependant un détour rapide dans le marché pour y acheter, au minimum un et trois au maximum, gros sacs de jute vide : sac à patate, navets, cucurbitacées ou autre topinambour. Les sacs doivent être suffisamment grand pour y contenir un jeune homme (s’il faut je tasserai à l’intérieur).


En arrivant sur les lieux de ma spoliation, je m’accroupis et commence à distribuer des caresses amicales à Pétard. Puis je commence à lui faire comprendre ce que j’attend de lui.


« Allez mon brave, montre moi que tu as toujours ton flaire. Souviens toi du jeune que tu as mordu, souviens toi de son odeur, de son goût. Souviens toi de son sang. Souviens toi mon chien, souviens toi » A ces mots, Pétard s’assoie devant moi immobile recherchant dans sa mémoire ces odeurs assez récentes pour lui.


« Et maintenant, Pétard nous allons chasser silencieusement, je veux l’attraper vivant. » Pétard se remets aussitôt sur ses 4 pattes en agitant frénétiquement la queue.


« Mais fait attention, il semble aussi sournois que toi. Allez mon brave vas y » Pétard me rend alors mon regard de défi et s’élance bille en tête dans les alentours, la truffes aux raz du sol à la recherche des traces que notre voleur a laissé.


Sambre regarde son chien commencer sa recherche. Je vérifie mes haches dans mon sac à dos et celle à ma ceinture. Puis d’un pas léger je commence à suivre Pétard en l’encourageant. Très rapidement mes encouragements disparaîtrons pour laisser place à une traque silencieuse. Pétard n’aboie plus … la chasse est ouverte …
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:07 pm

De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-08 08:52

"Quel est la mise à prix initiale du masque ?"
Piedeboeuf réfléchit un instant avant de répondre :
- Il me semble qu’il devrait être mis en vente pour 600 pièces d’or.

"Croyez-vous qu'il soit possible à peu de frais et très rapidement de réaliser une copie convaincante du masque ... comme piétiné par un âne ?".
Le regard intrigué, mais très intéressé de Piedeboeuf se pose sur le hobbit. L’homme place sa main sous son menton en signe de réflexion, plisse des yeux, puis fini par déclarer avec un hochement de tête :
- Contre une bourse contenant dix pour-cent de plus que son tarif habituel, je pense connaître un artisan qui se chargerait de ce travail en priorité… oui. Il se trouve dans la rue des lorgnons, dans le quartier Mercator. Non loin de la confrérie, par ailleurs.

Un sourire entendu vient accueillir les nouveaux noms donnés par le hobbit et l’humain défiguré, et Piedeboeuf se garde de faire le moindre commentaire à ce sujet. La demande de vases faites par l’humain laisse perplexe Piedeboeuf qui prit au dépourvu se contente de dire :
- Bah.. heu… il y a un potier à coté du verrier… il devrait avoir ça je pense.

Juste avant que ses deux employés ne prennent congés, l’homme semble réfléchir un instant puis montre la fenêtre et un pot de fleur posé sur le rebord :
- Vous voyez ce pot de fleur ? il est normalement placé sur le coté gauche de la fenêtre, comme à présent. Lorsqu’il sera placé à droite, c’est que je souhaiterai vous voir ou que j’aurais de nouveaux éléments. Vous entrerez donc sans frapper. De même, si vous le placez à droite, je serai au rendez-vous dans l’heure qui suivra. Messieurs, je vous souhaite bonne chance dans votre mission.

(Hors jeu 1 : Je vous propose de vous séparer pour les quelques heures qui suivent à moins que Fifrelin puisse patienter le temps que Sambre fasse son sort à un certain voleur ? Dites moi les garçons ce que vous proposez… En attendant, je propose à Sambre de poursuivre ici pour faire sa fête au voleur et à Fifrelin de continuer dans l’aventure qui sera vôtre et qui est intitulée « Le masque de Tarnelth »)

(Hors jeu 2 : il va foirer votre plan les garçons… Il vous manque la pelle et la corde ! (cf le film de Princess Bride).
Dernière chose : tous les objets de la liste… vont vraiment vous servir ? Ou vous en avez profité pour faire vos courses privées en plus ? Bon voici ce que vous trouvez pour un total de 45 pièces d’or – le masque cassé en coûtant 28 à lui tout seul)

- une tenaille (oui)
- un stylet très aiguisé (oui)
- 2 ou 3 grands sac en toile de jute (oui)
- 2 outres de vin (oui, pleines ?)
- un pinceau (oui, en poils de blaireau)
- des entraves (oui)
- des sucres d’orge (oui)
- deux paires de chausses neuves (oui)
- une caisse carré d’une longueur de bras de coté (oui, la caisse est ce qui est de moins cher)
- de l’herbe à rêve (c’est l’herbe de Fifrelin ? ?)
- de l’encre (oui)
- 2 miches de pain (oui)
- un rouleau à parchemin vide (pour y ranger une grande quantité de parchemin) (oui)
- un zeste de malice et le tout saupoudré d’un soupçon de chance. (ce n’est pas certain, on verra ce qu’en disent les dés)
- une baramine et une chaîne si on trouve (oui)
- des vêtements (oui)
- de la paille (oui)
- une brouette (oui)
- une flasque d’huile (oui)
- un carquois de flèches (oui avec 20 projectiles)
- des poteries de petite taille d’art abstrait (ou n’importe quoi d’autre de moche) (oui chez le potier)
- les tessons d’un masque (oui pour le lendemain)

Sambre achète ses trois sac de toile solide et demande à Pétard de suivre la piste du gredin qui l’a délesté tout à l’heure de son bien. Le chien se met alors à humer le sol, tournant pendant un court instant en rond puis s’arrête soudain, flairant quelque chose qu’il juge d’intéressant. Presque immédiatement, l’animal se met en route et suit la piste qu’il a capté, quittant le marché et s’éloignant en direction d’un des quartiers Nord de la ville. Pétard s’arrête au pied d’une tour servant vraisemblablement de milice, lève la patte sur une borne de pierre et poursuit son pistage jusqu’à un quartier misérable. Ici les rues ne sont pas pavées, mais ne sont qu’une fange nauséabonde. Pétard semble marquer un temps d’arrêt au niveau de la fontaine, tournant autour de celle-ci, puis reprenant sa route jusqu’à devant un établissement ressemblant à une auberge. Le chien s’arrête devant la porte de « La trompette des morts » et y gratte.

L’intérieur de l’auberge est minable et aussi propre que le caniveau. Une odeur de saleté flotte dans toute la pièce tentant d’être supplantée bien difficilement par le fumet d’un ragoût cuit et recuit depuis plus d’une semaine. Derrière le comptoir un homme à la mine patibulaire (mais presque) essuie des verres dont le verre est loin d’être net avec un chiffon couvert de taches.

Aussitôt la porte ouverte, Pétard s’engouffre à l’intérieur et file droit dans les escaliers menant à l’étage. L’aubergiste arrête Sambre au passage :
- Hélà ! T’es pas client, tu montes pas !

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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-09 07:23
(Hors Jeu : Notre liste de course est exclusivement pour notre casse. J’aurai aussi d’autre achat personnels par la suite.)

(Hors Jeu : C’est une auberge / auberge … ou y a t il d’autre « services » ? Pour le moment je pars sur l’idée auberge / auberge. Mais si cela n’est pas le cas … je ne fais pas le prude choqué.)

Sambre s’arrête et appelle discrètement son chien . Il jette rapidement un regard autour de lui et semble un peu perdu dans ce milieu d’immondices. Comment peut on vivre ici ? J’ai connu des caverne d’ours qui sentaient meilleur.

Sambre prend alors une mine fatiguée et visiblement facilement irritable.
« Houla mon tavernier tout doux. On m’a recommandé de venir ici crécher. C’est combien ici ? Et ton tonnelet d’hydromel tu le fais à combien. J’ai des connaissances qui vont venir faire un bout de fête avec moi. Après la sale journée que j’ai eu, j’en ai bien besoin … alors tu dis quoi ?»

( Hors Jeu : S’il me demande combien de nuit je lui répond 2 ou 3. )

( Hors Jeu : Quelque soit le prix de la nuit, je ne discute pas et je sors le double dans ma main pour lui montrer que j’ai un peu de moyen. Je lui paie que le montant convenue. Le prix du tonnelet n’est pour moi qu’informatif, je n’achète pas. )



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De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-10 04:43

L’aubergiste annonce le prix pour deux nuit de une pièce d’or avec le couvert, le double pour une chambre garnie. En effet, Sambre remarque qu’à une table, une soubrette au décolleté généreux aguiche un client à moitié saoul. Il informe ensuite le rôdeur sur les tarifs courant des consommables :
- Le tonnelet d’hydromel est à sept pièces d’argent, le couvert supplémentaire est à trois pièces d’argent et la passe supplémentaire à sept.

Sans un sourire, le tenancier empoche l’argent tendu par le jeune homme et lui montre du doigt l’étage en poussant une clé rouillée sur le comptoir :
- Ce sera la troisième à gauche.
Il retourne à ses occupations sans plus de cérémonies.

L’escalier craque sous les bottes de l’humain et à en juger l’odeur, il n’est nul doute que certains clients n’ont pas eu le temps de sortir de l’établissement pour aller aux latrines situées à l’extérieur. Le couloir de l’étage est sombre. La première porte donne sur une grande pièce où une odeur de fauve plutôt incommodante flotte. Une dizaine de paillasses sont entassées là, certaines encore occupées de poivrots ronflants.

Pétard, la queue frétillante s’arrête devant chacune des portes puis repart. Il marque enfin une pause devant la dernière porte sur la droite, levant les yeux vers son maître. Derrière la porte de bois peu épaisse, les gémissements d’un coït bestial se font entendre.

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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-11 08:44

Rapidement je me dirige vers ma chambre que j’ouvre pour y déposer mon sac et je demande à Pétard d’y rester en silence. J’ai un moment un haut le cœur en voyant ce pucier qui ce dit être un lit décoré de traces que je ne souhaite pas identifier.


Ensuite, je regarde s’il y a des toilettes. Et si oui je vais rapidement voir à quoi elle ressemble. Je note s’il y a moyen de s’approcher d’un homme qui satisferait la nature sans être vu de lui. Et je note s’il est possible de ramener un corps assommer directement dans ma chambre rapidement et relativement discrètement.


Je rentre de nouveau dans ma chambre. J’ouvre la fenêtre pour savoir ou elle donne. Je regarde sur les côtés pour pouvoir m’orienter et pouvoir retrouver, une fois dehors, la fenêtre de la dernière chambre à droite et celle de ma chambre. (Ma chambre est côté gauche du batiement, la sienne côté droit) J’en profite pour prendre une grande inspiration d’air plus pure.


Ensuite je reviens dans ma chambre, j’y laisse ma porte entrouverte pour observer et écouter ce qui ce passe dans le couloir. Je suis prêt à la refermer discrètement et rapidement si nécessaire.


Je me tourne alors vers Pétard allongé dans la chambre à l’opposé du lit, effrayé par les odeurs qui s’en dégage et en utilisant mon Bracelet sculpté en bois de cerf, je m’adresse à Pétard à voix basse :

« Félicitation Pétard, tu t’es montré plus adroit que notre proie. Maintenant il est temps d’aller chercher notre petit ami Fifrelin qui sent si bon. Tu le trouveras devant la maison dans laquelle nous sommes rentrée tout à l’heure et ou je t’ai demandé de rester dehors. Souviens toi. »

J’attend le temps de voir apparaître dans le regard de Pétard la petite lueur qui montre sa compréhension. Puis je reprends

« Une fois Fifrelin trouvé, tu l’amèneras ici devant cette fenêtre ouverte dans la rue et tu aboieras. Si la fenêtre est fermé, tu me chercheras. Je serai en train de suivre notre proie. Tu retrouveras facilement mon odeur. Allez mon brave Pétard à toi de jouer … va va !!! »


Une fois Pétard parti je commence à attendre patiemment. Je profite de ce moment pour préparer avec ma chemise de rechange que je déchire un bâillon et des entraves pour les pieds et les mains. Et secrètement je prie la providence de me donner l’occasion de pouvoir assommer discrètement mon petit voleur sans être vu de lui et de le faire disparaître dans un de mes sacs …


Le temps commence à s’écouler. Le coït bestiale, après avoir atteint son apothéose, laisse place au silence. Est ce que la travailleuse de charme laissera notre petit voleur seule une fois le Nirvana de la simulation atteint ? Ou Est ce que les finances de mon petit voleur vont lui permettre d’assouvir encore une fois ces prouesses de Don Juan (Hors Jeu grrrrrrr mon fric et saloperie de PNJ ventard ) Est ce que mon homme profitera ensuite du repos du guerrier bien mérité ? Ou ira t il épancher ces besoins naturelles ? Ou quittera t il cette bouge ?




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Conseiller Message 41 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-11 09:01
(Hors jeu : "Mort ou vif Pétard, tu l'amèneras mort ou vif ! Et si il faut tu fais plusieurs voyages. )

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Conseiller Message 42 sur 50 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-11 10:35

La chambre est petite et tout ce qu’il y a de plus simple. Effectivement, les draps n’ont pas été changés il y a longtemps et l’intégralité du mobilier se compose du lit, d’un tonneau découpé faisant office de chevet et d’un tabouret. Comme l’état des escaliers l’avait laissé présupposer, les latrines se trouvent à l’extérieur de l’établissement, dans la ruelle sur laquelle donne la fenêtre de la chambre du rôdeur. D’ailleurs une odeur âpre et soulevant le coeur envahi la pièce dès que la fenêtre est ouverte.

Le lieu d’aisance (donc situé au rez-de-chaussée à l’extérieur de l’auberge) est dans un état innommable à imaginer que certains, voir même tous les clients ne savent pas viser. Chaque trou d’aisance est à découvert et ne permet pas d’avoir un minimum d’intimité. Bien entendu, le seul escalier menant aux chambres donne sur la salle principale ou de nombreux clients s’abreuvent.

Le couloir est calme car en ce milieu d’après midi, les seuls passages sont ceux des clients venus satisfaire une envie refoulée auprès des filles des joies de l’établissement.
Pétard frétille d’excitation dès que son maître lui parle. (Il se lèche les babines à l’idée de croquer du hobbit). Le chien file dès que les consignes de Sambre sont passées.

C’est maintenant la chambre voisine de celle de Sambre, dans laquelle il a vu entrer une donzelle, vulgairement habillée suivie par un gros bonhomme suant, d’être le siège d’une symphonie dédiée au dieu Nikaphon. La porte de la chambre du voleur ne tarde pas à s’ouvrir laissant sortir une jeune fille à la poitrine généreuse sortant à moitié de son bustier. Elle se retourne, adresse un sourire aguicheur au coquin en replaçant son corsage de façon un peu plus décente et en déclarant d’une voix forte et nasillarde :
- A tout à l’heure, Sami.
Elle referme la porte derrière elle, traverse le couloir et descend l’escalier.

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Conseiller Message 43 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-11 14:16
Fifrelin arrive en vu de l'auberge, épuisé d'avoir du soutenir le rythme du chien.

Je reprends mon souffle penché en avant, les mains calés sur les genoux en lançant un regard noir au chien. Le bestiau me retourne un regard candide au fond duquel je soupçonne une lueur d'amusement.

Je lève la tête vers l'établissement minable que la lumière du jour déclinant n'épargne guère : "Pff, même riche il garde ses goûts de minable".

Refusant de céder aux injonctions baveuses de Pêtard au grand dam de mes bas de pantalon, je m'interroge sur la marche à suivre quand tout à coup ...
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MessageSujet: Re: 2004-LE MARCHÉ   2004-LE MARCHÉ Icon_minitime16/01/09, 01:08 pm

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Conseiller Message 44 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-12 04:55
Sambre observe dans l’embrasure de la porte la soubrette quitter la chambre du larron.
« Sami, il se nomme donc ainsi »

Sambre commence a réfléchir au meilleur moyen de kidnapper Sami quand un aboiement familier retentit dans la rue. Sambre se dirige vers la fenêtre et y découvre Pétard accompagné d’un hobbit asmathique crachant ses poumons.

Sambre fait un signe à Pétard et à Fifrelin de ne pas bouger. Sambre ramasse un de ses sac de jute et se dirige vers la sortie pour aller rejoindre Pétard et Fifrelin «N’empêche on dira ce qu’on voudra mais je suis impressionné par la capacité de Fifrelin à trouver aussi rapidement les lieux aussi répugnant que celui ci. Une vrai mimétisme avec les mouches à merde … les ailes en moins … »

En sortant Sambre fait attention a ne pas passer devant le fenêtre de Sami. Ou si cela est impossible, je rase le mur juste à l’aplomb de sa fenêtre pour ne pas être vu. (Hors Jeu Idem pour revenir)

Ayant retrouver Fifrelin, Sambre l’attire dans une ruelle discrète. Puis s'adresse à Fifrelin « J’ai retrouvé mon voleur. En ce moment il doit dormir du repose du guerrier. Je pense que nous devrions prolonger son repos, pour le sortir de cette bouge puante. Mais pour cela, je pense qu’il est préférable de donner l’illusion du respect du postulat de ANTOINE-LAURENT DE LAVOISIER (*) »

Fifrelin répond par un regard d’incompréhension faisant passer Pétard pour un prix Nobel.

Sambre après avoir regardé s’ils ne sont pas surveillés, tend le sac à Fifrelin « Monte dans le sac, je t’expliquerai une autre fois »

Une fois Fifrelin dans le sac, Sambre le prend sur son dos, et se dirige vers sa chambre, Pétard sur ses talons. Une fois dans la chambre, Sambre aide Fifrelin à sortir du sac.

Puis à voie basse Sambre dit à Fifrelin : « Mon voleur s’appelle Sami. Il est dans la dernière chambre dans le couloir à droite. Je te propose que tu tentes d’ouvrir sa porte. Je ferrai le guet dans le couloir. Puis je rentrerai dans la chambre de Sami, s’il dort, après toi. Au fait qu’as tu découvert cet après midi ? »

Sambre écoute avec intérêt les découvertes de Fifrelin, avant de se diriger vers le couloir.

(Hors Jeu : Pétard est avec moi dans le couloir. Si quelqu’un monte Pétard descendra aussitôt bousculant le malheureux.)
(Hord Jeu : (*) « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »)


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Conseiller Message 45 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-12 10:05
Fifrelin apperçoit ce grand dépendeur d'andouille de Sambre lui faire des signes joyeux depuis une des fenêtres de l'auberge.

*Qu'est-ce qu'il est venu foutre () dans ce bordel sordide ? Se faire déniaiser et commencer une collection de maladie ?*

Je regarde perplexe le gros balourd longer les murs en marchant à l'égyptienne et c'est non sans réticence que je l'accompagne dans une ruelle peu fréquentée. J'endure stoïquement ses explications confuses étouffant un hoquet lorsqu'il arrive à sa conclusion.

*Monte dans le sac, je t’expliquerai une autre fois ?*

A peine ai-je le temps de chevroter : "Mmm...mais.." que le noir se fait. Pendant les 5 minutes d'inconfort qui suivent, je m'ingénie à trouver un plan pour dérober le masque qui implique pour Sambre de remonter à contre courant le conduit des latrines de la salle des ventes.

Arrivé dans la "chambre" je respire un bon coup, me mouchant le nez d'un doigt une narine aprés l'autre en grommelant : "Poussiéreux ce sac".

Cette fois-ci le résumé de Sambre est un peu plus compréhensible. Je lui fait part à mi-voix de mes observations sur la salle des ventes et je lui donne notre nouvelle adresse.

Puis nous passons à l'action.

Un coup d'oeil à gauche, un coup d'oeil à droite et si le champ est libre je me glisse dans le couloir. Quelques enjambées rapides et je colle mon oreille à la porte de la chambre de Sami. Je vérifie silencieusement que la porte n'est pas fermée à clef. Dans le cas contraire je la crochette. J'entrouve ensuite et je passe rapidement la tête.

Si Sami est réveillé et qu'il m'observe, je m'esquive en lançan d'une voix de fausset "Mary, Mary, il y a un monsieur c'est pas la bonne". Je file ensuite au cas ou m'embusquer sous la fenêtre de Sami, laissant Sambre décider si il attend que la porte s'ouvre ou si il retourne dans sa chambre.

Si Sami sommeille, je fond silencieusement sur lui, ramassant au passage un tabouret ou une cruche que je lui fracasse sur le crâne avant de lui fourrer la couverture dans la bouche au cas ou cela ne suffirait pas.


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Conseiller Message 46 sur 50 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-12 10:23

(Hors jeu : Continuez à me faire rire comme ça, c’est vraiment agréable pour terminer la semaine !)

Sami somnole sur son lit. Les couvertures sont au sol et le jeune homme, commençant à prendre un peu de panse, est vautré sur le dos, nu comme au premier jour de sa naissance. Ses vêtements sont éparpillés sur le sol, jetés là dans la frénésie du coït. Le voleur doit être âgé d’à peine vingt ans.

Le tabouret tombe en miettes non pas sans avoir cassé une arête nasale au passage et ouvert passablement une arcade sourcilière répandant du sang sur les draps et l’oreiller. Le voleur est à présent inconscient.

Tous ses effets sont dans la chambre et les deux coquins retrouvent la bourse de Sambre sous l’oreiller du malfrat, bien entendu avec une trésorerie bien entamée. La bourse ne contient plus qu’une douzaine de pièces d’or.

(Hors jeu : Il est à vous les gars. Vous ne rencontrerez pas de problèmes pour l’emmener dans un sac – si j’ai bien compris – mais ne soyez pas trop durs avec lui, il n’a pas tué, juste volé)

De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-12 12:21

Après avoir entendu un choc mat et sourd, je quitte mon poste de guet pour rentrer rapidement dans la chambre. Je jette vers Fifrelin un des sac de jute pour qu’il puisse ramasser plus facilement toutes les affaires de Sami et l’arme du crime cassé. M’adressant à Fifrelin je dis à mi-voie : « N’oublie pas de fermer la porte de sa chambre avec sa clé ».

Puis, je prends rapidement Sami dans mes bras et l’emmène dans la chambre. Sous l’œil vigilent de Pétard prés à jouer la boule d’un jeu de quille avec le premier curieu qui monterai l’escalier.

Une fois dans ma chambre je commence à bâillonner Sami avec les entraves que j’avais préalablement préparées. Je fixe également un bandeau sur les yeux de Sami, et ensuite je commence à entraver ses points et ses pieds.

Pendant ce ficelage, je soupire de regret que Sami ne se réveille pas. Ah non … il bouge un peu. Je commence a armer mon poing pour exercer mon droit de légitime défense quand la porte derrière moi claque. Fifrelin vient de rentrer dans la chambre. Visiblement le courant d’air provoqué par le claquement de la porte a suffit pour renvoyer Sami au pays des songes. Dommage !!!

Une fois Sami ligoté, je vérifie l’ensemble des entraves.

« Bon, je pense qu’il est temps de quitter ce trou puant. Faisons prendre un petit relaxant à notre ami pour la route. » (Hors Jeu : Sami est bâillonné, donc il ne respire que par le nez : pipe à rêve dans la narine droite et doigt sur la narine gauche (ou inversement … ça marche aussi). Je fais très attention à ne pas trop respirer de fumée. looooooovvvvveeeee)

Je fais rentrer Sami dans un sac de jute avec ses affaires. S’il est trop grand je prend 2 sacs que j’enfile sur le bas et le haut de son corps. Je re-ficelle le tout avec ma corde. Puis je quitte l’auberge calmement un gros paquet sous le bras. Pour aller rejoindre dehors et un peu plus loin Fifrelin qui est descendu par la fenêtre.

Puis nous dirigeons vers le quartier Medium, où Fifrelin a loué une maison.

Dans cette maison, nous y installons Sami (toujours les yeux bandés) dans la cave attaché sur une chaise que nous fixons au mur sur des crochets ou sur une poutre.

( Hors Jeu : En présence de Sami, nous déformons volontairement notre voie, et nous nous inventons chacun deux personnages. Nous testons aussi l’isolation phonique de la cave. Est ce que de la cave nous pouvons entendre une conversation faite au rez de chaussé ? )

Une fois installé, Sambre et Fifrelin discutent. Fifrelin évoque le soucis des papiers de livraison et son idée d’essayer d’en voler un sur un livreur au moment ou il livrera avec l’aide de Pétard pour créer une diversion.

« Fifrelin, mon ami, je sais que tu as une réputation de … heu … aventurier en dehors des chemin de la loi à défendre. Mais il serait peut être plus simple de demander à monsieur Piedeboeuf de mettre en dépôt vente un de ses meubles. Nous aurions alors un vrai bon de livraison que nous pourrions faire dupliquer pour notre livraison. Si cette idée ne fonctionne pas, il sera toujours temps d’essayer tes talents de doigts agile sur un livreur »

Sambre jette alors un regard perplexe un tabouret de la maison. « Ou sinon nous avons des tabourets »

(Hors Jeu : Okay Sami a dépensé la moitié de MA fortune, soit 12 po … mais lui personnellement il avait des richesses ? bijoux, or, pièce d’équipement de valeur … chacun son tour !!! )



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Conseiller Message 48 sur 50 dans la discussion
De : Surnom MSNnamep1 Envoyé : 2004-03-12 13:27
Fifrelin contrôle et change régulièrement les liens du voleur, prenant garde à ce qu'il soit bien attaché, sans pour autant couper sa circulation ni le marquer.

Dés le début, Sami est baillonné, ses yeux sont bandés et je bricole même le bandeau de façon à ce que les sons soient amortis.

En masquant ma voix je l'informe que si il se tient tranquille il sera libéré demain soir.

D'ici là nous le surveillons à tour de rôle, lui laissant se dérouiller les jambes OU un bras. Nous lui donnons la becquée et à boire, l'accompagnons aux toilettes.

Toutes les deux heures du temps de veille nous lui faisons griller une des fumettes.

*Hummm... ce que nous projettons n'est pas cruel mais implacable. D'un autre côté la vie est dure et ce jeune voleur a fait son choix le jour ou il n'a pas su abandonner la partie. Enfin, il aura une dernière chance, avec ... la justice cette fois*

Le lendemain matin j'accomplis mon tour de garde pendant que Sambre tentera de se procurer un bon de livraison. J

'occupe ma matinée en "vieillissant" les poteries et en leur ajoutant des dessins "ethniques".

Je prépare également la caisse en y ajoutant un double fond. Je m'entraîne à y tenir et je fore un trou discret dans un noeud du bois pour observer. Je confectionne un bouchon que je noirci au broux de noix pour occulter l'oeilleton.

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De : Surnom MSN--Sambre-- Envoyé : 2004-03-15 04:47
Dés le lendemain matin tôt, je me rends chez monsieur Piedebeouf pour y déplacer le pot de fleur pour demander un rendez vous.

Je m’occupe ensuite pendant une petite heure à finir d’acheter et à rassembler nos achats pour notre petite expédition.

Au bout d’une heure je reviens chez monsieur Piedeboeuf en faisant attention à ne pas être suivi et à ne pas trop attirer les regards. Je demande à Pétard de m’attendre dans la rue, puis je rentre directement dans la maison comme convenue.

Puis si monsieur Piedebouef est seul je lui dit : « Bonjour monsieur Piedeboeuf, merci de répondre aussi promptement à mon appel. Je me suis permis de vous déranger pour vous demander un service : Pourriez vous mettre en dépôt vente un de vos meubles à la confrérie des négociants. Le but de l’opération est de récupérer le document de livraison présenter par le livreur pour en faire un faux pour une autre livraison ce jour d’une caisse contenant des poteries ethniques, 22 pour être exacte. Je vous conseillerez de mettre en vente un bureau, un guéridon ou un fauteuil, ou tout autre petit meuble mais évitez les meubles de type armoire, sarcophage ou male de voyage. »

Si monsieur Piedebouef répond favorablement à ma requête je lui demande quand je pourrai repasser prendre ce document.

Enfin après avoir saluer monsieur Piedebouef, je prends congé et je retourne rejoindre Fifrelin avec les dernières nouvelles et nos derniers achats.

(Hors Jeu : Je posterai plus tard ce que je fais avec Sami plus tard du moment ou nous l’avons installé chez nous jusque ce soir … pas trop de temps en ce moment)


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Conseiller Message 50 sur 50 dans la discussion
De : Maître du jeu Envoyé : 2004-03-15 10:48

((Je vous propose de reprendre dans la discussion du « Masque de Tarnelth »))

ÉDIT: IDEM
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