2004-ILLUMINATIONS

De : Maître du jeu (Message d'origine)
Envoyé : 2004-02-13 09:52
Sandoval quitte donc la petite cabane. Le village semble avoir pris encore plus de vie pendant ces quelques minutes. Il est clair que ces elfes sont nocturnes plus que diurnes. Le temple indiqué par Elrael est sous les chutes d’eau. Un petit sentier permet d’accéder à la grande porte qui est ouverte.
Les prêtresses vont et viennent portant tantôt des pansements propres, tantôt des pansements souillés de sang. Dans la grande salle, une statue d’une femme nue dansante, fait office de pilier principal.
En arrivant au niveau des chutes d’eau, Sandoval est pris d’un flash qui le stoppe net dans sa marche.
- Flash -
Sandoval voit la forêt se racornir et dépérir à vue d’œil, il voit dans le fond d’une combe, une forme tentaculaire sombre, qui semble dévorer la végétation, il voit ensuite des humanoïdes se prosterner devant cette forme qui ne se gène pas pour en absorber quelques uns.
- Flash
Le bruit de la cascade est presque assourdissant maintenant qu’il est à proximité. Quelques embruns portés par la brise viennent le rafraîchir en cette chaude nuit d’été.. Alors qu’il va pour interpeller une prêtresse à la peau d’ébène, pour lui proposer un peu de son aide, le prêtre a une autre vision.
- Flash
Sandoval assiste impuissant à l’accouchement de la magicienne qu’il a rencontrée quelques minutes plus tôt. Il voit Erwann, le visage défait et Anylu, le ventre totalement ouvert, laissant apparaître ses entrailles. Un homme, borgne, la peau très pâle et les cheveux presque blancs, lever vers le ciel un nouveau né, difforme
(Anylu, si tu lis ça, saches que rien n’est sûr, hein, ne panique pas )
- Flash
(Hors jeu : voilà pour la première vague qui a bien épuisé ton érudit, la suite un peu plus tard )





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De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-13 11:05
Des discussions et des brides de Savoir que j'ai pu regrouper, ce peuple vénère une Divinité (peut être la Lune), sous le nom de Vierge Noire. Je me dirige donc vers le lieu de Prières.

La vision de la forêt consummée par la corruption et le mal m'assaille comme un malaise physique, des images mentales encore plus rapides s'y glissent (druides, druides noirs, traîtresse, hommes-lézards) qui m'apportent un tel flot d'information que je ne peux tout enregistrer ni comprendre pour le moment. L'image la plus nette et la plus puissante est celle de cette forme tentaculaire, sa noirceur psychique me donne la nausée, les vies qu'elle dévore me rendent malade, j'ai l'impression d'être devant un dieu vampire; la pire des abominations pour un Fils du Soleil comme moi.

Ebranlé par la vision, je titube de quelques pas en avant, mes sens pertubés par ce que je viens de vivre n'ont pas le temps de se régler à un niveau correct. Le bruit de l'eau est assourdissant, le moindre éclat de lumière un supplice, les minuscules gouttes d'eau comme autant de poignards de glace sur ma peau... Puis la normalité reprends sa place, je commence à revoir normalement, je lève une main vers une des prêtresses pour lui demander où je peux me rendre utile, mais à cette pensée

Anylu éventrée, Erwann horrifié par la vision de folie qui s'impose à lui, le borgne semble jubiler et diriger cette parodie démonique d'accouchement, des images secondaires fulgurent à nouveau au sein de la vision (loup brun , loup blanc, loup blanc borgne, l'avenir et l'enfant lié). Le nouveau né est difforme, mais surtout il n'est pas humain, il représente à la fois la partie noire du futur d'Anylu mais aussi la partie sombre de l'avenir de toute cette forêt.... Comment ? Pourquoi ?

Terrassé par cette vision je tombe à genoux en poussant un gémissement, puis une phrase prophétique s'échappe de mes lèvres en un volume qui confine au hurlement, hors de tout contrôle ou de toute pensée consiente
"Par en dessous, ca dévore tout".
et je perds conscience, tombant face contre terre sur le suil du temple.

(je reprends conscience une dizaine de minutes plus tard si personne ne mets fin à mes jours)


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De : namep1
Envoyé : 2004-02-13 11:13
(Hors jeu : troublé dans son sommeil par un songe sinistre, Fifrelin ouvre vaguement un oeil, avant de se renfouir sous sa couette en marmonnant "Charlatan..." )


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-13 17:52
(Hors-jeu: T'en fais pas, je commence à m'habituer aux songes de notre chère Md... Sûr que ça m'inquiète un peu qu'Anylu soit au coeur même de ce qui se passe dans la forêt ...

Et LOL... cher Fifrelin... toujours le mot juste )




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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-15 06:28
(Hors jeu : Héhéhé, la prochaine fois j’ajouterai une vision où un hobbit aux airs angélique, profite d’une inconscience du mage pour lui dérober tous ses biens, y compris ses opales de feu )

Sandoval reprend conscience, allongé sur une paillasse. La première chose qu’il voit est le visage d’une elfe noire le scrutant avec inquiétude. Derrière elle une voix féminine grave peste :
- (elfique) Nous ne sommes pas un asile pour malades ! Dès qu’il reprend conscience, jette le dehors, Viconia !
La prêtresse qui passe un linge humide sur le front de l’érudit, lui sourit et lui fait signe de refermer les yeux pour l’instant, avant de se retourner et de déclarer à sa supérieure :
- (elfique) Qu’il en soit fait selon vos désir, Sandryma. Vous devriez aller prendre un peu de repos, Grande Prêtresse, les derniers événements semblent vous avoir beaucoup fatiguée.
- (elfique) Je n’ai pas besoin de toi pour savoir ce que j’ai à faire. Déclare sèchement l’autre prêtresse en quittant la pièce.

Une fois que la porte s’est refermée, Viconia s’approche à nouveau de la paillasse où est étendu Sandoval et lui demande :
- (commun) Comment vous sentez-vous Messire ?

((les fiches des Pnjs, en questions seront ajoutées dans la journée))


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De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-15 14:09
(hors jeu : bah, je fais plein d'efforts de roleplay et c'est le hobbit avec ses bons mots qui récolte les lauriers... )

Elfique : "Je vous remercie Dame Viconia, vos soins et vos sourires me rendent l'énergie qui me fait défaut. Permettez-moi de me présenter, je me nomme Sandoval et je suis prêtre Officiant de Lathandre, Divinité du renouveau et de l'aube. Et mon Dieu qui m'a guidé ici pour accomplir une tâche à sa Gloire vient de m'accorder une vision concernant l'avenir de votre forêt et de ses peuples. Quant à votre Grande Prêtresse, sa fatigue et ses problèmes actuels ne justifient pas son manque de discernement, car je ne suis pas 'un malade' comme elle le dit si aimablement. Et je souhaite obtenir une audience auprès d'elle, accompagnée des membres du cercle intérieur qu'elle pourra regrouper dès que possible, en tant que représentant en mission d'une Divinité alliée et porteur d'un message. Ajoutez que je me soumettrais à toutes les prières de vérité et les serments qu'elles jugeront bon pour s'assurer de la réalité de mon message."
(les deux dernières phrases sont dites en la regardant droit dans les yeux, pour lui montrer ma sincérité et avec l'espoir qu'un peu de la lumière divine de la vision y soit toujours visible)

"Je dois, en attendant qu'elle daigne me recevoir, prévenir des amis d'un danger imminent."
Je pars ensuite en courrant, je dois retrouver Anylu et Erwann au plus tôt, le danger qui les menace et ma mission sont liès et je DOIS les accompagner dans leurs déplacements. Je vais donc les prévenir de mes visions et leur demander de bien vouloir attendre que j'ai transmis le message aux autorités religieuses locales

(hors jeu : le temps que je patiente dans les couloirs (ca va bien leur prendre une bonne heure pour se décider à me recevoir et au moins autant pour regrouper le cercle intérieur (sauf si Sandryma est très autocratique) je me receuille en priant mon Dieu. D'abord des louanges et une grande humilité reconnaissante pour les visions. puis une interrogation passive quand à mon attitude envers cette divinité et ses servantes.
J'ai conscience de ne pas être du même rang que Sandryma (loin de là) mais je suis le seul représentant de Lathandre dans la région (à ma connaissance) et en mission Divine qui plus est, aussi je ne me comporte à aucun moment comme un simple novice devant la grande prêtresse.

De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-15 15:07
Mon cher Sandoval... tu te débrouilles très bien et je suis contente que notre rencontre se poursuive plus loin... Ça va?


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-16 04:50
(Hors jeu : Ne pleure pas, de toutes façons ce garnement de Fifrelin va être puni alors…
Cela aura de quoi te remonter le moral avant la prochaine vision.
Contente que tu souhaites te conforter à Sandryma… il va falloir le jouer role play cet entretien… )
Viconia est surprise de la vitesse avec laquelle l’humain se relève et s’élance au dehors. Elle reste un moment coite puis se mord la lèvre inférieure. Si cet humain était un représentant d’un autre culte, Sandryma avait une fois de plus, commis un impair. Pendant que Sandoval court prévenir ses amis, la prêtresse entreprend de convoquer le conseil.
Sandoval se précipite donc au dehors et aperçoit au loin Anylu et Erwann qui reviennent de la forêt, maintenant totalement sombre et obscure.
(Hors jeu : Je propose que l’on poursuive ici. Préviens les de ta vision, si tu le souhaites)


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De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-16 06:17
(hors jeu, une image à été ajoutée sur la fiche de Sandoval, sans être parfaitement adaptée elle est relativement proche de ce à quoi j'aspire)

A peine sorti sur la place je croise Eldrael et Sidhe, encore réfrigérés par le passage de la grande prêtresse, mais avant que j'ai le temps de leur poser la moindre question j'aperçois Erwann et Anylu de retour de leur aparté. Je me dirige vers eux, et leur parle.
Commun : (à voix suffisamment basse pour ne pas être entendu à plusieurs mètres)
"Sieur Erwann, Dame Anylu, l'heure est grave. Mon Dieu, Lathandre, vient de m'accorder deux visions dont l'une vous concerne directement. J'ai vu une représentation de ce que serai le futur de la forêt si nous ne parvenons pas à stopper la progression du mal, puis après quelques secondes de répit, j'ai vu ce que pourrait être votre avenir si nous échouons à le modifier, et je dis nous car cette vision me lie à vous.
Ce n'est ni le lieu, ni le moment idéal pour des détails aussi en parlerons nous à votre convenance plus tard, sachez juste que les loups noirs et blancs n'ont pas fini de se battre pour votre enfant. Je dois maintenant aller à une réunion du conseil des prêtresses de la Vierge Noire. Je vous y convie en tant que spectateurs et amis, mais je ne sais si elles vous laisseront y assister."

Puis je retourne au temple, s'il reste des rayons solaires dans le ciel je prie quelques instants jusqu'à leur disparition. Puis je vais patienter dans le temple, dans la salle centrale face à la statue de la Vierge Noire, j'adopte une posture humble mais pas celle de la prière et comme indiqué précédemment, je loue mon Dieu pour mes visions. Puis je quête humblement une indication de l'attitude que je dois adopter en son nom face à cette divinité féminine et vraisemblablement lunaire.


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-16 11:44
Je consulte Erwann du regard, ma décision est prise, je ne sens pas le besoin d'assister à une réunion des prêtresses, où la si aimable Sandryma sera assurément présente. Me faire regarder comme une abherration de la nature n'est pas des plus agréable et je refuse gentiment l'invitation.

- Vous êtes gentil, Sandoval. Mais je compte aller me reposer puisque la nuit est déjà tombée. J'ai eu ma part d'émotions pour aujourd'hui. La fin approche, ajoutai-je en caressant mon ventre rebondi, je dois me préparer... D'autant plus que je souhaite partir avec Elrael dès demain matin pour aller à la recherche d'Astrid. Je vais donc vous laisser me représenter... quoique ma présence est plutôt le dernier des soucis de cette communauté. La grande prêtresse ne m'apprécie pas, et je lui rend la pareille sans problème.

Elle tend les mains vers lui, attrappe les siennes et les presse en signe d'amitié.

- Nous nous rencontrerons demain, au lever du jour. Pour le moment, je vais aller méditer sur ce que vous venez de me raconter. J'ai aussi quelques parchemins à examiner avant que le sommeil ne me trouve.

Je me tourne vers Erwann et lui dit: -Tu me trouveras dans la chambre où nous étions ce matin. Fait ce qu'il te plaît mais viens me rejoindre, je t'en prie... dès que tout sera fini.

Sur ce, je tourne les talons, non sans avoir salué Elrael et Sidhe. Je vais comme je l'ai dit, me recueillir dans la chambre où j'allume de la lumière et commence à examiner les parchemins de sorts, les recopiant soigneusement dans mon livre et essayant de les apprendre pour pouvoir m'en servir le lendemain. Je fini par m'endormir au bout d'une heure ou deux, le nez encore plongé dans ma magie.

( Chiche! Des nouveaux sorts:-)

De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-16 11:50
(hors jeu : ce paragraphe n'existe que sur acceptation du MD).

Commun : "Anylu, si tu veux uniquement réviser ta magie ce soir, je peux te prêter mon grimoire personnel comme je te l'avais proposé."

(Libre à Anylu d'accepter où non, je lui fais confiance)


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-16 11:59
((Hors jeu : Je réponds rapidement, avant la suite demain :
Sandoval fait ce qu'il veut de son grimoire . Si Anylu étudie les sortilèges de l'érudit, je compte sur toi Any pour me dire lesquels, la magicienne tente d'aprendre et je ferai les jets de dés pour savoir si c'est réussi))


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-16 13:36
( Hors-jeu: Oups! Retour dans le temps... )

Je regarde Sandoval sans comprendre ce qu'il vient de m'offrir.

- Me ... laisser... regarder votre grimoire? Vous me permettriez de partager vos sorts? Mais... c'est un grand privilège... vous savez. Et si vous me pensez digne d'une telle confiance, Sandoval, je veux bien partager les miens avec vous. J'ai par contre à copier les parchemins qu'Edmond m'a donné pour les services que je lui ai rendu. Dès que j'ai accomplit cette tâche, il me fera plaisir de vous laisser regarder mon grimoire...

Avant de quitter les lieux, j'approche mes lèvres de son visage et je lui donne un petit baiser sur la joue.

Sur ce, je tourne les talons, non sans avoir serré dans mes bras Erwann en lui murmurant à l'oreille combien je l'aime.
Je vais ensuite, comme je l'ai dit, me recueillir dans la chambre où j'allume de la lumière et commence à examiner les parchemins de sorts, les recopiant soigneusement dans mon livre et essayant de les apprendre pour pouvoir m'en servir le lendemain. Je srcute ensuite le manuscrit de Sandoval et je fini par m'endormir au bout d'une heure ou deux, le nez encore plongé dans ma magie.



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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-17 10:58
(Hors jeu : Anylu, je t’ai ajouté les sortilèges recopiés des parchemins du petit Roi Vert dans ta fiche de personnage. Tu les as tous compris et es en mesure de les lancer à présent – après un peu de repos. Dis moi lesquels des sortilèges de Sandoval, tu cherches à recopier et à comprendre, je tirerai les dés. Tu peux me dire « tous » )
Anylu :
Anylu s’endort épuisée par la rude journée passée au pays des fées.
Le nez sur son grimoire ouvert, la magicienne glisse peu à peu dans un songe étrange.
Elle est de petite taille, pas plus grande que plus tôt dans la journée. Tout paraît vraiment immense, les fougères, les épines des ronces, les fraises des bois, les moustiques et les libellules voletant à rase mottes. Un étrange grognement monte soudain de derrière un buisson de houx. De derrière en sort le loup blanc borgne qui regarde Anylu comme s’il regardait une souris.
Il entrouvre la gueule et gobe la magicienne en un seul coup ! Anylu voit les dents saillantes, aiguisées et jaunes, puis la langue, la glotte et puis… tout devient noir. Elle est à présent au coeur d’une grotte. Il fait froid et humide. Elle aperçoit au loin Astrid traversant un pont de pierre au dessus d’un torrent tumultueux. Elle l’appelle, le sorcier de guerre se retourne et perd l’équilibre, glissant et chutant dans l’eau qui devient boueuse.
Comme une réaction chimique la boue se met à bouillonner et à prendre du volume et de la place, engloutissant tout ce qu’elle rencontre sur son passage. Bientôt Anylu en a jusqu’au genoux, puis la taille, puis jusqu’au cou… elle suffoque…
Sandoval :
Erwann a décidé d’assister en tant qu’observateur à la séance qui va être donnée au conseil.
Après de longues minutes d’attente, on fait enfin entrer Sandoval dans la salle du conseil, qui est située au coeur d’un grand arbre au centre du village. Trois elfes composent le conseil des Trois Chutes : deux hommes et une femme, la grande prêtresse.
Ils sont tous trois assis sur des fauteuils de bois habillés de peaux et ornés de bois de cerfs et regardent les deux humains entrer. Erwann, discrètement se pose dans un coin et tente de se faire oublier.
Les elfes regardent Sandoval s’avancer. L’un des deux hommes prend alors la parole :
- (elfique) Vous avez demandé à parler au conseil de ce clan, étranger. Nous vous écoutons.
(Hors jeu : Sandoval, n’a reçu aucun signe divin quant-à l’attitude qu’il doit adopter, il est seul face à ses choix)


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-17 11:40
( Tous en effet ... ;-) si je veux me défendre contre un loup borgne et blanc... et sauver ma progéniture :-P )


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De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-17 13:12
(Hors jeu : mon dieu m'accorde une bien grande confiance malgé mon très faible niveau, je suis pourtant en train de négocier les premiers contacts avec une divinité importante sur ce monde).

En elfique : " Hauts Seigneurs, Très Haute Dame, je me nomme Sandoval, Erudit de la sphère Solaire et Fidèle priant au service de Lathandre, divinité de l'aube et du renouveau.
Je me présente devant vous les mains nues en tant que représentant en Mission pour ma Divinité et Ambassadeur de mon culte.
Je fus mené en cette forêt par la puissance de mon Dieu, depuis la très lointaine cité légendaire des Elfes de Myth Drannor. J'ai fait un peu connaissance avec les habitants de la région et les divers problèmes qui leurs échouaient, j'ai alors prié ardemment mon Dieu pour qu'il m'éclaire quand à la mission qu'il souhaite me voir mené à bien.
Les puissance de la forêt en la personne d'un druide Nain m'ont conduites très rapidement ici où de nouvelles stigmates me furent révélées, j'ai alors souhaité prendre contact avec le clergé local et leur offrir, à tout le moins, mon aide pour soulager les blessés.
Ma divinité, probablement en accord et avec le soutien de la Vierge Noire que vous révérez, m'a alors envoyé deux visions intenses portant sur d'innombrables faits et lieux de cette forêt et sur l'obscurité qui la recouvre peu à peu.
J'ai d'abord aperçu une image du mal qui corrompts la forêt, les arbres mourraient et de nombreux sacrifices étaient fait en son nom. D'étranges hommes lézards y participaient. Une forme noire et tentaculaire émergait d'une combe profonde détruisant toute vie sur son passage. J'ai également vu la trahison des druides par l'une des leurs.
Ensuite, une deuxième vision me fut accordée, plus personnelle elle m'indiquait qu'elles étaient les personnes sur lesquelles le mal allait peser le plus lourdement et auprès desquelles mon action serait la plus utile."

"Si j'ai demandé à parler devant le conseil, c'est pour que ces mots ne reste pas aux mains d'un seul dépositaire dont je ne peux jurer de l'allégeance dans les événements à venir, averti comme je le suis qu'une telle trahison est un outil déjà utilisé par le mal qui nous assaille.
Je suis prèt à répondre à toutes vos questions, et même à me soumettre à tous sortilèges religieux ou profane ayant pour but de s'assurer de la véracité de mes dires à l'expresse condition que le lanceur y soit soumis également"


De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-17 16:04
En rêve: Je voudrais bien m'échapper de cette boue qui entre dans tous les orifices de mon corps et qui est en train de m'étouffer. La panique me gagne bientôt, un cri d'angoisse s'échappe de mes poumons.

En réalité: Un cri me réveille en sursaut. Je me suis endormie sur mon grimoire et l'encrier s'est déversée sur la table. Heureusement, cela n'a pas touché mes précieuses feuilles de parchemin. Il me faut réparer mes dégâts. Je cherche dans la pièce un linge qui pourrait éponger l'encre et je nettoie la table. Le bois dont elle est constituée a inbibé la majeur partie du pigment. Et ma bouteille est presque vide. Qu'à cela ne tienne! Je m'en procurerai une autre. Je range mes choses et m'assied sur le lit, réfléchissant à ce nouveau rêve. Une mise en garde? Une crainte non déclarée?
Erwann n'est toujours pas là. Mais je tombe de sommeil. Je dois me reposer. Peut-être que ces songes sont seulement le reflet de ma trop grande fatigue. M'allongeant sur le lit, je m'endors bientôt.


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-18 11:07
(Hors jeu : Les voies des dieux sont impénétrables… La mise en épreuve est couramment utilisée par ces entités divines… il faut dire qu’elles sont tellement bavardes entre elles, qu’elles en oublient souvent les novices qui portent un si lourd poids sur leurs épaules…
Attention tout de même à ne pas mélanger les éléments de la vision offerts généreusement par le dieu soleil à l’imagination farfelue de l’érudit. Autrement dit : Il n’y avait pas d’hommes lézards dans la vision que Sandoval a eu.)
Le conseil :
Les trois elfes écoutent attentivement les paroles de l’érudit. Les deux hommes sont impassibles calmes et sereins, mais la prêtresse, Sandryma présente des signes d’impatience, son index droit marquant une cadence inaudible sur l’accoudoir de son fauteuil.
Une fois que Sandoval a terminé son plaidoyer, un long silence s’installe, les elfes détaillant l’humain se présentant devant eux. Un des seigneurs elfe se penche en avant, et joignant ses pouces, lui précise :
- (elfique). Le conseil des Trois Chutes vous a entendu, Envoyé du dieu de l’Aube. Nous allons nous parler de vos visions entre nous. Nous ne demanderons pas à vérifier vos dires, car ils correspondent à certains récits que nous avons pu recueillir, ceux à propos de notre prophétie.
Sandryma se lève, visiblement excédée par la lenteur avec laquelle son compatriote s’exprime et déclare :
- (elfique) Pour ma part, je n’ai pas de questions. Vous pouvez vous retirer.
Le relais est prit par le troisième elfe qui temporise légèrement la Grande Prêtresse et rassure Sandoval :
- (elfique) Soyez assuré, Messire Sandoval que nous prendrons les décisions qui s’imposeront dans les temps qui nous sont impartis. Nous enverrons dès demain des émissaires auprès des autres peuples elfiques pour les joindre à cette cause. La forêt est notre demeure, nous nous devons de nous ériger contre ce qui cause sa perte. Allez en paix, Emissaire.
Si Sandoval n’a plus rien à ajouter, les trois elfes lui font signe qu’il peut se retirer. Erwann attend déjà l’érudit au dehors et dès sa sortie le harcèle de questions, visiblement nerveux et plein d’espoir et de crainte mêlés quant-aux réponses que Sandoval pourrait lui apporter :
- (commun) Qu’avez-vous vu, exactement ? Je veux dire, qui nous concerne, ma compagne et moi ? Nous devons partir pour la ville d’Athuld demain, risquons-nous quelque chose à y aller ? Dois-je laisser Anylu ici ?
Anylu :
La magicienne, s’est réveillée. Après avoir nettoyé l’encre renversée, elle s’allonge sur le lit. La position est beaucoup plus confortable et elle ne tarde pas à retomber dans un profond sommeil.
Cette fois-ci Anylu est face à une étrange plante verte. C’est comme si la fleur la regardait et possédait un visage. C’est le visage d’Edmon qui lui parle au travers de la fleur et qui lui dit :
- J’espère que tu m’en voudras pas trop d’avoir un peu exploré tes rêves…
La fleur tombe alors en poussière et prend la consistance d’une poudre verte scintillante. La même que celle contenue dans le petit sachet végétal offert par le petit Roi des fées.
Cet épisode passé, la métisse passe une nuit sans encombres et sans autre rêves.

De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-18 12:19
(Hors jeu : ok pour les voies des dieux impénétrables et tout et tout, aide toi et le ciel ... ok j'ai pigé.
Pour les visions, j'ai effectivement rajouté quelques éléments, mais comme tu n'as ni contredis, ni fais de corrections j'ai cru que tu étais d'accord. Il s'agissait essentiellement d'éléments de background de ta campagne qui me permettent de ne pas être totalement largué et d'avoir des éléments de référence. Mais je m'excuse d'avoir citer les hommes-lézards .
Je comptais aussi parler des druides et tenter de voir avec le conseil ce qui peut frapper tant de gens, de tant de façons différentes mais pour éviter les impairs je ne dis rien.)

L'attitude séche et peu curieuse du conseil me désoriente, ils n'ont aucune question à poser sur mes origines ou sur des détails ?? Aucune corrélation à établir ?
Que la Grande prêtresse soit hostile commence à ne plus m'étonner, mais la elle dépasse toutes les bornes de la bienséance et de la courtoisie face à une ambassade religieuse. La fureur que je contient devant l'offense est visible un moment sur mon visage. Seule l'intervention du troisième Elfe me rends ma contenance.

En commun : "Ami Erwann, vous me permettez de vous appelez ami ?. Voici en détail ce que j'ai perçu : Vous le visage révulsé d'horreur, anéanti par la folie de ce que vous aviez sous les yeux. Dame Anylu le ventre ouvert largement, par des griffes ou une arme je ne sais, immobile, peut être morte. et ce Loîk, si c'est bien lui que j'ai vu, un homme, borgne, la peau très pâle et les cheveux presque blancs. Il était en train de lever vers le ciel un nouveau né, difforme arraché au sein de votre Dame. Mon Dieu, m'a envoyé cette vision, je dois donc vous assistez de mon mieux. Comme Dame Anylu m'a déja parlée sommairement de la malédiction de votre frère et de ce qui vous affecte, et que mon Dieu m'a envoyé cette vision juste après celle m'enjoigant de lutter pour la survie de la forêt, j'en déduis que vous aider vous, aidera la forêt aussi. Ou alors que si je vous aide vous m'aiderez en retour je ne sais pas exactement."
"Quand au départ pour Athuld demain, je propose que nous attendions le matin pour prendre une décision finale. Si vous partez, je vous accompagnerais, mais je souhaite d'abord entendre la décision du conseil si vous le permettez. Même si je ne me fais aucune illusion quand à la teneur des paroles de la grande prétresse après mon départ."

Sur ce, la nuit étant bien avancé et les blessés n'ayant pas disparu, je vais aider les prétresses de mon mieux avant de gagner une couche disponible au dehors. je rassemble mon sac et mes affaires sous un banc ou un bas-flanc disponible près du Temple de la Vierge (je n'ai été invité nul part). Et je me dispose à dormir.

Au premier rayons du soleil , j'acceuille mon Dieu par la prière quotidienne

(update : ma liste de sorts pour le jour 3 est la suivante :
mage : vapeur colorée (1)
prètre : Injonction (1) / Création eau (1) / Pierres Magiques (1) / Lueur féérique (1); ces 4 sorts pouvant être sacrifiés pour devenir des Cure Light Wounds (1) )


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-18 16:19
( Hors-jeu: Erwann aurait rejoint Anylu au courant de la nuit? Admettons qu'il est le matin... )

Je m'éveille et il me prend une curiosité impérative de regarder dans mon sac et de prendre le sachet de poudre verte que le petit roi Edmond m'a donné. Comment identifier son contenu? J'en prend une pincée entre mes doigts, le scintillement me fascine. Je n'ose pas en respirer pour éternuer et ainsi réveiller Erwann qui dort encore. Mais j'approche mes lèvres et je sors la langue. Je goûte à cette poudre verte pour en savoir la teneur.


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-19 10:37
((Hors jeu :
Sandoval : Je n’ai pas corrigé parce que Sandoval a le droit de s’enliser dans l’erreur, comme son joueur. Par contre, je tenais juste à te mettre en garde sur le fait que toutes les discussions ne sont pas liées à la campagne principale… il y a un bon nombre d’aventures dites « parallèles ». Attention également pour certains prénoms qui n’ont pas été révélés par les dieux, je vais faire agir néanmoins mes Pnjs en fonction de ce qui a été dit… pour cette fois-ci
Anylu : Tu parviens à recopier et comprendre les sorts suivants en provenance du grimoire de Sandoval : niveau 1 : Lecture de la magie, altération des feux normaux, détection de la magie, lumière, lumières dansantes, Effacement, Réflexion du regard, Vapeur colorée, Identification – jet raté pour mains brûlantes (89% pour 85%) et niveau 2 : Lumière continuelle, Pyrotechnie – jet raté pour Sphère enflammée (96% pour 85%). Je mettrais à jour ta fiche prochainement.))
Sandryma semble n’avoir cure de l’indignation affichée par l’érudit du soleil. Le conseil se retire afin de délibérer un moment.
Pendant ce temps là, les deux humains discutent et Sandoval répond aux questions angoissées du rôdeur :
- Voici en détail ce que j'ai perçu : Vous le visage révulsé d'horreur, anéanti par la folie de ce que vous aviez sous les yeux. Dame Anylu le ventre ouvert largement, par des griffes ou une arme je ne sais, immobile, peut être morte. et ce Loîk…
Sandoval est interrompu par Erwann dont le visage s’est déformé par la colère. Non, il s’agit bien plus que de la simple colère en fait… de la haine serait le mot juste. Il siffle dans ses dents :
- (commun) Comment avez-vous entendu parlé de mon frère ! Où est-il ! ? C’est à cause de lui tout cela ! Dites moi où je peux le trouver !
Pendant un instant, le rôdeur semble perdre tout contrôle, puis reprend de l’empire sur lui même et termine presque désolé :
- (commun) Toutes les bonnes volontés seront nécessaires si votre vision reflète le futur… mon frère est dangereux, Sandoval, prenez-y gare si vous le rencontrez !
Le rôdeur se retire quelques instants plus tard, plongé dans ses pensées moroses, en donnant rendez-vous le lendemain matin au magicien devant l’auberge. Il va rejoindre Anylu qui dort déjà.
Le conseil des Trois Chutes délibère quelques instants encore et le dernier elfe qui avait adressé la parole à Sandoval, vient l’informer des décisions qui ont été prises :
- (elfique) Comme, je vous l’ai annoncé, nous enverrons dès demain des émissaires dans les villages et clans voisins. Si la prophétie se réalise, nous entrons dans une sombre période… Que la Vierge Noire vous guide dans votre mission, Messire Sandoval. Revenez, nous faire part de vos découvertes dès que possible… Isilkelhinen (que la lune vous éloigne des ténèbres).
L’elfe se retire après avoir salué Sandoval.
L’aide que propose le prêtre au temple est accueilli avec un grand sourire par les prêtresses présentes. En échange des deux soins que l’érudit peur prodiguer, elles lui offrent le logis. Sandoval aide donc à la cicatrisation de vilaines blessures causées par les griffes et les crocs de manticores sur les spadassins drows.
Erwann est venu rejoindre Anylu pendant la nuit et s’est couché sans la réveiller à ses cotés. La jeune femme se réveille donc dans les bras de son compagnon le lendemain matin, gênée par des petits coups de pieds donnés par l’enfant qu’elle porte.
La poudre portée à la bouche a un goût à la fois amère et sucré. C’est étrange comme sensation, Anylu a l’impression que le bout de sa langue est tout endolori et n’a plus aucune sensation avec (cela disparaîtra dans deux heures).
Le rôdeur s’éveille et embrasse Anylu tendrement, lui demandant si elle se sent d’attaque pour une journée de marche. Il lui propose un petit déjeuné à base de fruits et s’habille rassemblant leurs affaires en l’informant que Sandoval les accompagnera à Athuld. Il aide ensuite Anylu à se préparer et porte son sac pour qu’elle fasse le moins d’efforts possible.
Sandoval, Erwann et Anylu se rejoignent à l’extérieur du temple, où ils ne trouvent pour le moment aucun signe d’Elrael ou de Sidhe.
(Hors jeu :les deux elfes sont encore en pleine discussion, je pense qu’ils vous rejoindront au prochain message. En attendant, vous pouvez vous préparer pour le voyage ou faire plus ample connaissance)

De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-19 11:17

( hors jeu : bon me voila puni de ma curiosité maladive . Je tenterais à l'avenir de me restreindre au fils déjà parcourus. )
( hors jeu : bravo Anylu, ton livre de sorts devient plus utile déjà)

En commun : "Sieur Erwann, Dame Anylu, bien le bonjour. Avant toute chose je tiens à vérifier si je n'ai pas créé de malentendus par excès d'interprétation. Hier soir, erwann je vous ai présenté l'homme de ma vision comme étant Loîk, mais si j'ai prononcé ce nom c'est parce que Dame Anylu m'avait auparavant dans la journée entrenu sommairement des dangers qu'elle encourait suite à cette malédiction peut commune. En voyant dans ma vision un borgne pâle dans le contexte que vous savez, j'ai interprété, mais il peut s'agir d'un autre malfaisant. Aussi je vais tenter de me remémorer tous les détails possibles de ma vision pour que vous les confrontiez à vos souvenirs, ainsi nous serons fixés" (ensuite je lui décris avece le maximum de précision possible tous les détails qui me reviennent de ma vision concernant le borgne).

En commun : "Dame Anylu, j'espère que mon grimoire vous aura été utile. Si vous y consentez je parcourrais le votre ce soir"

En commun : "Le conseil à pris acte de mon passage et des mes dires, mais apparemment rien ne les choque et tout cadre avec leur prophétie ou du moins le voient-ils comme tel. J'ai été remercié de mes efforts et prié de rapportés des nouvelles de mes actions et de ce dont je serais témoin. Aussi je m'en remets uniquement à mon Dieu et vais vous suivre et vous assister car vos destins semblent liés au mien d'une façon que je ne comprends pas encore. J'espère que chemin faisant nous auront le temps de devenir amis."

Mes sorts sont près, j'ai encore de nombreux vivres donnés par Madame Troypom, que je complète par une gourde en cuir pleine de vin de route aux herbes. Je cherche aussi une armurerie ou un poste de guet et tente de m'acheter un haubert de maille, un casque ouvert sur le devant, des jambières de cuir bouilli et des gants épais, une épée longue ainsi que des pierres de frondes (20) que je paye avec mon Or.
( hors jeu : Je sais que l'armure m'empéchera presque à coup sur de lancer mes sorts de mages, mais je ne suis pas mage de bataille et je compte plus sur ma force et mes prières pour les jours à venir. De plus un haubert de maille est une armure très simple à mettre et défaire et qui se range bien dans un sac. Quand à l'épée même si je ne sais pas la manier comme il se doit, mon Dieu m'accorde tout type d'arme et je préfère avoir une bonne lame que mes mains nues ou mon Bâton sacré pour défendre ma vie. Les billes de frondes me serviront de munitions adaptées pour le miracle de 'Pierres Magiques'. Si tu refuse une ou plusieurs parties de cet équipement, pouvons nous poursuivre la négociation par mail pour ne pas ralentir le fil avec du marchandage ?)


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De : Anylou3
Envoyé : 2004-02-19 11:36
(HJ: Merci à toi... Je dois déjà beaucoup à Sandoval ;-)

Je m'étonne de l'effet engourdissant de cette poudre... et je me promet de trouver de quoi il s'agit bientôt. Peut-être que Sandoval pourra m'éclairer là dessus? Il semble un mage d'une grande érudition... Je lui demanderai quand je le verrai.

Erwann, couché à mes côtés s'éveille doucement. D'une main câline, je caresse ses cheveux tout en lui donnant un petit baiser sur la joue. Nous mangeons en silence, et il est au-devant de mes besoins lorsque nous nous préparons à partir. Nous ne reparlons pas de notre avenir...

Le petit est bien vivant en mon sein et bouge amplement. Alors qu'il me donne un petit coup de pied, je prend la main de son père et je lui fait partager ce moment magique.

Je demande quelques temps pour parcourir mon livre de sort et en étudier quelques uns.
( 1e: Glisse, projectile magique 2e localisation d'objet)

Puis, nous sortons à l'extérieur, le magicien nous attend déjà. Je le salue d'un grand sourire en lui remettant son manuscrit.

- Je vous prêterai le mien avec plaisir, cher ami. Votre générosité me touche beaucoup.

Nous attendons un peu que Sandoval se munisse de son équipement et que Sidhe et Elrael daignent nous rejoindre.


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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-23 11:22
Erwann écoute avec une appréhension non dissimulée les détails de la vision de Sandoval. Il ne dit mot et ne nie rien de ce que raconte l’érudit au sujet de loup borgne et d’homme albinos borgne. Se contentant de soupirer, le rôdeur serre la main de sa compagne, silencieux pendant l’attente d’Elrael et de Sidhe.
Pendant que Sandoval va acheter quelques protections, Erwann, serre Anylu contre lui et la rassure, en lui affirmant qu’il ne laissera rien gâcher leur bonheur ou leur vie et que rien n’est écrit tant que ce n’est pas arrivé.
Sandoval revient quelques instants plus tard avec un peu d’équipement au moment même où Sidhe et Elrael apparaissent de l’autre coté du village.
((Hors jeu : je vous propose de poursuivre l’aventure dans la discussion « Au secours d’Astrid ».
Sandoval, nous mettrons la partie « équipement » au point ici.
Le forgeron drow vend ses hauberts de manufacture elfique, bien entendu, pour la modique somme de 90 pièces d’or – dans ce monde c’est une affaire !
Sandoval n’a pas assez pour se payer cette armure, aussi, il l’aiguille vers un tanneur après lui avoir vendu une épée longue, des billes de fronde et un casque pour 12 Po.
Le tanneur a tout une multitude d’armure de cuir bouilli plus ou moins épaisses, plus ou moins renforcées de clous… Pour une armure de cuir souple, il demande 10 Po. Pour une armure de cuir cloutée, il demande 20 Po et 1 Po pour des gants.
Merci de me dire quel est l’équipement choisi que je mette ta fiche à jour. Si tu prends le plus « optimum » à la hauteur de tes moyens, tu en auras pour 33 Po))


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De : Dark_Thorns
Envoyé : 2004-02-23 12:41
(pssst, ces elfes et leur sacro sainte supériorité en tout ....)

bon je prends l'option à 33 pO

sinon, en tant que MD, que penses-tu des options que j'ai choisies pour l'équipement , cela te parait-il raisonable. ?



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De : Maître du jeu
Envoyé : 2004-02-24 10:30
((Ton option me paraît être la plus raisonnable. Un mage de bas niveau ne peut que rarement se permettre d'aller au combat sans une once de protection - réelle ou magique - dans ta situation, j'aurais mis en avant, tout comme tu l'as fait, mes capacités religieuses avant mes capacités cabalistiques.
Je mets ton inventaire à jour dans ce sens ))