2007 - Apparté 1 -Lirendel-Galil

Dans la forêt : Apparté 1 -Lirendel-Galil

De : J-Konari  (Message d'origine)
Envoyé : 2007-11-17 00:37
Hj: Est-ce que je peux créer un apparté ici? Si j'attends dans la conversation générale, je
risque d'être dans un bain de boue lorsque le délais sera écoulé....
Est-ce que cela te va Li (Michèle, je crois?) J'attends confirmation avant de poster un réel message....


De : Stockage
Envoyé : 2007-11-17 04:06
Hj: Tu as le feu vert, reste qu'à te mettre d'accord avec la belle Mimie


De : Urylë
Envoyé : 2007-11-17 17:02
HJ :Bonjour Galil,
Je suis entièrement d'accord. Tu peux faire le premier message et je te suis.


De : J-Konari
Envoyé : 2007-11-18 03:25
(hj: Retour après le bain.... Bref, apparté...)
 
Mieux dans ma peau après un bon bain frais (cette fois sans craindre de lamproie suceuses de cuisses), je me sens déjà mieux... même si la douleur s'est un peu ravivée sur mes ecchymose, dont celle de ma joue.
 
Dans le coffre de la félys, j'avais choisi une tunique de lin à manches longues d'un étrange rouge foncé, tout simple, mais qui avait l'avantage d'être extrêmement pratique et très confortable. Cela assorti à un pantalon long en peaux de couleurs neutres, je pourrai me déplacer plus facilement qu'en robe et armures...

La cape de l'elfe bleu toujours sur mes épaules (je la lui rendrai un peu plus tard), je m'approche de Li, curieuse mais aussi nerveuse face à la conversation qui viendra. Tout s'est passé si vite que j'ai beaucoup de questions et que malheureusement, des doutes se sont installés... Cela aurait été plus facile sans cette dame rousse....
 
-(commun) Li? Tu voulais me parler?
 
You installée sur mes épaules, je m'asseois sur l'herbe et attends la réponse de celui pour qui mon coeur balance mais dont il n'est plus sur... Pourquoi tout va-t-il si vite? Pourquoi me fuit-il?


De : Urylë
Envoyé : 2007-11-21 20:26

-(commun) Li? Tu voulais me parler?
 
Lirendel regarda Galil qui venait de s'assoir à ses côtés avec sa petite boule de poil sur les épaules. Elle revenait de son bain sûrement, car il voyait des petites gouttelettes pendre de ses cheveux.
 
I l hocha la tête. Par quoi commencer, se dit Lirendel. Il plongea son regard dans le sien.

Il était mantenant seul pour une fois, mais...il y avait tellement d'événements qui s'étaient passé depuis leur première rencontre.Pourquoi le regard de la jeune danseuse ne produisait pas le même effet que celui d'une cerainne femme mystérieuse. Quel idiot il était, Galil était une femme merveilleuse. Elle le suivait depuis le début, sans dire un mot, sans se plaindre de son manque d'attention. Elle était humaine de chair et de sang. Le mieux pour lui était d'oublier la dame rousse. Le druide lui avait dit qu'elle le torturait depuis des années. Une femme de ce type ne pouvait être que méchante...
 
Il lui dit en souriant finalement :
 
-(commun) Comment ça va? Est-ce que la baignade t'a fait du bien?
 
Lirendel se doutait bien que ce n'était pas ça qu'elle attendait comme question ou confidence. Toutefois, il n'avait pas encore le courage d'aborder le sujet encore. Galil semblait nerveuse et il la comprenait, car il l'était lui aussi énormément.


De : J-Konari
Envoyé : 2007-11-22 15:35

Patiente, j'attends sa réponse. Cependant, les paroles qui me reviennent ne sont pas celles auxquelles je m'attendais. Choquée, un peu prise au dépourvu par la banalité des propos, j'en reste un instant muette....Peut-être ce n'était pas volontaire de la part de Lirendel de débuter la conversation ainsi, mais ces paroles sont pour moi dépourvu de tout. Ce sont des paroles qu'une connaissance aurait pour une autre, une question dont on n'a pas nécessairement besoin de réponse.

Il est vrai que je ne devais pas m'attendre à ce qu'il évoque tout ce qui s'est passé depuis... n'était-ce déjà que hier? Je décide de prendre patience et de lui répondre.
 
-(commun) Je vais bien. L'eau fraîche est agréable et cela a calmé un peu les ecchymoses.

Je ne sais quoi rajouter, surtout que je n'ai même pas la force de lui faire un sourire pour le rassurer, tant par mes doutes, que par ma fatigue...
 
(hj: Désolée, Galil n'a pas l'intention de te rendre la vie facile.. fallait pas faire les yeux doux à la rousse, bon! lol)


De : Urylë
Envoyé : 2007-11-29 02:14

Lirendel sentait la déception de sa compagne. Il la comprenait. Il la regarda intensément. Tout comme lui, elle était fatiguée. Il ne désirait pas qu'elle souffre parce qu'il l'aimait.
 
Lirendel se leva, se plaça derrière Galil et commença à lui masser les épaules en lui disant d'une voix douce :
 
-(commun) Je te demande pardon. Mon désir n'était pas de te blesser. Mes sentiments à ton égard non pas changer. Je t'aime. La dame rousse ou la Sorcière n'a fait que me troubler depuis le début. Elle possède une prestance, une grandeur comme ma mère. Je ne ressens rien comparable à ce que je ressens pour toi. Lirendel cessa de la masser et l'attira doucement vers lui sans se soucier du fait qui ne devait pas sentir très bon. () Et poursuivit son discours (Il est bon la dedans ) :
 
-(commun) Quand nous sommes partis du village des Trois Chutes, une déesse m'est apparue... Elle m'a demandé d'aider l'elfe bleu, en me disant que c'était l'élu, en échange elle m'aiderait à retrouver mon père. Depuis que je suis jeune que je désire me vanger de celui qui a détruit ma vie et celle de mon peuple, c'est-à-dire mon père. Quand la déesse m'a offert son aide, j'ai accepté sans hésiter. Je n'ai pensé qu'à moi à ce moment là. J'ai été égoïste. Et quand la Sorcière, la dame rousse m'est apparue, une autre déesse... J'ai été troublé. Elle a pu par je ne sais quel miracle me détendre, comme ma mère savait si bien le faire. Je voulais t'en parler, mais l'occasion ne se présentait pas. Puis d'autres événements sont apparus afin de troubler encore plus mes sentiments. La Dame de la forêt me parle dans ma tête maintenant. Je sais que cela devrait me contrarier, mais au contraire, je ne sens rien de maléfique dans sa voix.
 
Lirendel s'arrêta afin de laisser à sa douce l'occasion de lui poser des questions. Il
sentait peu à peu diminuer le poids qui lui pesait sur les épaules...